dimanche, novembre 15, 2009

AG Ligue

Lors de L'AG ligue un document  a été distribué ; voici ma contribution


Hervé ayant fait le bilan de la saison, il me revient de resituer ce cliché dans une perspective historique, afin  de mesurer les effets de la politique sportive de la ligue.

Le niveau des rec de Lorraine et des meilleurs performers lorrains, leur ancienneté, leur positionnement par rapport au niveau  national ou international, sont des indicateurs à prendre en compte.   


LES RECORDS DE LORRAINE  en sprint

chez les femmes  appartiennent à  MC CAZIER / 7.28 en junior/11.34/22.78 en espoir depuis 1982/1984
chez les hommes à  R CERIL /6.70 / 10.43  en 1995 et S. DAL BON /21.06 ..en 1976

Les chronos féminins de Magali Martin 7.36/11.72  datent  des années 80 /Ceux de  Viviane Sildillia 7.45/11.64 des années 90.

C  COLVIL a couru en 6.75/10.48  en senior dans les années 90 /E GUY et S DALBON ont couru en 10.52/10.53  en junior dans les années 70.

La meilleure Lorraine des années 2000 est  Elodie Barre 7.54/11.78/23.83 i/ en espoir en 2006/2008. Le meilleur Lorrain Imaad Hallay 10.48/21.32,  cet été, à  25 ans.

Trois des quatre meilleures Lorraines et deux des trois meilleurs Lorrains ont été coachés  hors club ou hors ligue. En  Lorraine,  des coaches  cts ou entraîneurs ETR indemnisés par la ligue ont fait progresser ces athlètes.

C COLVIL/ M  MARTIN   ont été coachés en club à Longwy. 

MC CAZIER  a quitté la Lorraine en espoir pour atteindre le très  haut niveau (11.23/22.32) dans un club parisien à 23 ans /55.50 au 4H à 27 ans.

De Magali Evrard à Eric Guy, la liste est longue des cadets- juniors qui n’ont pas progressé en restant dans leur club ou en faisant appel à un cadre technique.

Amélie Fosse  vient de décider de rejoindre F PEPIN après deux saisons 2008/2009 qui n’ont pas confirmé ses exploits en cadette. 
  
Sur 400,  A Rouyer a bloqué à 53.41 à 21  ans en 2001
Cinq des 7  meilleures Lorraines ont atteint leur top entre 17 et 21 ans, dont une il y a plus de trente ans et A FOSSE en 2006. Pas une n’a progressé ensuite ( carrière en cours pour A Fosse) .

B Louis,  formée et suivie hors club, hors Lorraine,  a progressé jusqu’à 33 ans.
J  Monthe,  arrivée en Lorraine à 25 ans en 2009, se place d’entrée cinquième Lorraine  tous temps.

La  huitième  Lorraine tous temps sur 400 est L  Picoche, spécialiste demi fond, voire cross et 10 KM.

Les deux derniers détenteurs du RL du 400 masculin, les quatre  meilleurs Lorrains tous temps, cinq des  six  meilleurs Lorrains 2009 ont ou avaient pour coach un cts ou un coach  ETR indemnisé par la ligue.
 
Aucun junior lorrain détecté dans son club, à 50/49/48, n’a progressé sous 49/48/47.50 en senior  depuis BARDY en 1980.

Aucune jeune Lorraine détectée à 56/57/58, n’a atteint dans son club  les 56.02 de Picoche.



Sur 100H le record  de Lor (13.16) date de 1992,

Corinne Grimont était coachée par un cts

La seconde Lorraine  (Lebeau  13.76 en junior/1975)  est partie progresser à 13.03 à Paris en senior.

La troisième ( Rodriguez  13.76 elle aussi en junior) est restée dans son club et n’a pas progressé

La quatrième Y OMRANI (13.91 en 2009 en espoir), a quitté son  coach club en cadette, est revenue en espoire,  pour quitter coach, club et ligue, à 22 ans.

Aucune des jeunes Lorraines détectées sous 14.50 n’a atteint les 14.20 réussis par B Etienne en …1977 

110H

Un seul lorrain sous 14.00 
Les détenteurs des rec de Lor,  des départements, des clubs, junior et espoir,  n’ont pas atteint ce niveau
E  Romary a quitté son club et ses coaches club pour faire 13.52 à 28 ans avec HOZE en 1996

Sur 400 haies, de jeunes lorraines,  ont  trusté à trois le podium national junior 2007

Omrani a abandonné cette discipline, Fosse n’a pas progressé, toutes deux ont quitté leur coach club 

Lucie Perrin  est restée dans son club, a progressé à  59.25 en 2008. Elle est suivie par Fabiani, coach professionnel salarié par  son club

C Barbesant troisième lorraine tous temps, courait en 59.42 en 1980 en senior, avec  un coach club, A Ternard  

59.42 est un chrono jamais atteint  en trente ans par les juniores-espoires lorraines à 60/61 plus performantes que Barbesant   chez les jeunes

I Baron/ V Massing couraient en 61.50 /62.31 en senior en 1992/1991 ; elles sont  8°/10° lorraines tous temps, ce qui signifie que les jeunes lorraines qui débutent à 63/64/65  ne progressent pas  dans leur club à 62.31


Depuis les frères GONIGAM dans les années 80 un seul lorrain  a approché les 50
Laurent CLAUDEL 50.05 en  2001
Ces trois hurdlers  ont fait appel aux services de cadres techniques  
Le recordman de lor junior F  KLEIN (51.9 m /1974) est resté dans son club,  a stagné à 51.92 à 21 ans puis a régressé ;
Idem pour son frère Claude /52.50 à 19 ans en 1976/ et pas mieux ensuite









Demi fond


B Tahri  a consommé plusieurs  coaches lorrains, a tenté de s’entraîner seul, a confié son sort, à  deux autres  coaches hors ligue  avant de faire appel à 26 ans à DIRRINGER, qu’il n’a plus quitté.      

P Thiebaut a été fidèle de minime à senior à Habémont. Coach club et  prof  au creps détaché pour suivre professionnellement deux PASCAL, sélectionnés olympiques  et autres coureurs de niveau national.

H Bagy, le meilleur marathonien avec Zilliox, a été formé par Bachir en club à Longwy, puis s’est pris en mains  lui-même.

Les deux meilleurs chronos  sur 800 datent  des années 70,  établis par deux espoirs,  Marquant et Charron, partis ensuite sous d’autres cieux.

Les jeunes Lorrains qui détiennent les rec départemrntaux  cad jun esp  demi fond et qui ont choisi de rester dans leur club,  n’ont  ni égalés, ni approché  les perfs de Marquant/Charron.       

Les rec de Lorraine féminins sont détenus par Farida Fates depuis 1990/1996. Entraînée dans son club puis en licenciée individuelle par J Bastien,  coach club.

Laurane Picoche  détient  le record  de Lor du 800, elle est dauphine tous temps sur 1500. Elle est coachée dans son club par N Jeudy, coach professionnel.

Laura Miclo, troisième Lorraine tous temps sur 1500 est drivée par Gobert, coach ETR indemnisé par la ligue.

Trois autres Lorraines  classées 4/5/6 tous temps, ont couru entre 4.16/4.19 dans leur club dont deux dans les années 90, et une en 2003, formée et suivie hors ligue.

La 7°  Lorraine tous temps s’est arrêtée  dans son club à  4.24 à  21 ans

La 10° à  4.29.42 à 22 ans en 2007 (carrière en cours pour Jenny Léonard) 

Ce dernier chrono, pourtant accessible,  reste hors d’atteinte  dans  90% des clubs lorrains.

Alors que de nombreux coaches club détectent depuis toujours

-des  cadettes à moins de 5 MN jusqu’à   4.34/4.32  ou à moins de 2.20 jusqu’à  2.15/2.16  (de Breilly en 1976 à Di Lorenzo  en 1995 et Clausse-Léonard- Six-Fage en 1999/2002/ 2007/2009)
-des juniores- espoires à  moins de 2.15 /4.30 (depuis  Mory en 1972 jusqu’à  Picoche- Miclo en 2004/
2007 et autres  Breyton- Moissette  ou Adolphe-Halter-Yessad-Clausse-Ciré-Léonard-Espinouze- en 1989/1993/ 1994/ 1997/2003/2004/2006/2008)

C’est clair, nous avons les athlètes : ceux que je viens de citer et beaucoup d’autres ont le talent pour être classés  5°/10°/20° lorrains – je laisse de côté les trois ou quatre leaders tous temps, dont certains, pas tous,  ont des aptitudes naturelles très supérieures, à l’image de Bouabdellah

La cause de nos difficultés à faire progresser se situe du côté des coaches, des clubs, des comités et de la ligue, de la fédération.
La responsabilité est collective,  pas individuelle

Les solutions sont évidentes quand on analyse les carrières des athlètes et que l’on compare ceux qui restent enfermés dans un schéma , ceux qui sont déchirés entre club , ligue , fédé , et ceux qui ajoutent les soutiens club- ligue – fédé , grâce à  une collaboration transparente, acceptée par toutes les parties

Dans les concours c’est  encore plus flagrant  puisque la technicité des lancers et des sauts peut,  comme sur les haies, compenser les aptitudes physiques naturelles, sous  condition d’un suivi expert

Poids

Depuis A MAURICE et  F  LOCUTY coachées par des cadres techniques, dans les années 90, à plus de16M,  pas une seule lorraine  n’a atteint 15M .

S SZUSTER  a quitté la ligue après avoir amélioré le rec de lor sans coach,
Pascal SCHWARTZ a gagné un mètre en allant s’entraîner en Allemagne   

Disque

Depuis  N  JARRY /53m20 en 1975, une seule lorraine  en 34 ans,  Mélanie Pingeon,  a atteint  50 M cet été .Très peu progressent  à plus de 40


Mélanie, coachée  par C Gonzales,  coach ETR indemnisé par la ligue, a stagné pendant trois saisons espoirs, progressé  en 2009 et  quitté coach, club et ligue

Michel  CHABRIER a lancé à 57M80  à Remiremont  en 1972  puis a quitté la ligue pourfaire 60 m 40 à Paris ; son  rec de lor n’a jamais été approché en 37 ans



Javelot

Maryline Bertrand 48.96 à  23 ans en 2002 avec C GONZALES,quitte son coach formateur pour  le  cts D PAUSE après deux saisons 2003/2004 décevantes
Le club  du PAC  perd son athlète qui mute et poursuit  une régression  qui va la faire disparaître

Nadège NOEL 44 m en juniore, à 46.49 à 20 ans,  dans son club à Epinal vient s’entraîner au pôle de Nancy sans succès, fait un essai au pôle alsacien, pas plus concluant,  stagne à 46.71 à 23 ans, puis régresse à 43 m.

L’heptathlète Da Silva qui lance à 43 m en junior, sur les conseils du cts PAUSE, sans être spécialiste, démontre que cette performance est accessible

Chez les hommes un junior 1 à 65 m 21 comme Katchavenda perd 4 M50 en junior 2, régresse à 55 m 21 à 20 ans après avoir  quitté son club formateur pour un pole alsacien

Des cadets juniors entre 50 et 60
disparaissent sans approcher  le RL de DEMMERLE  (68.74 en 1999) et Eric,  à 41 ans, est numéro 2 lorrain  2009  derrière TESSON, seul à plus de 60 m 


Marteau

Nathalie Rheder arrive dans la ligue à 28 ans et atomise avec 61m 84 le rec de lor de  Sonia  OTAVA/  56M04 avec COPPA en 1999

Des juniores à  47.44, des espoires à 49.86 n’atteignent pas 50 M

A Amnéville  RAPHAEL   transforme un jeune asthmatique en champion de France senior 2009, place deux espoirs et un cadet  au sommet  national,
Le      6° LORRAIN   2009  est cinq mètres derrière le 5° Amnévillois 


HAUTEUR

Le RL  féminin date de 1992 / 1M93 
Le club de St Die  avait engagé un coach expert belge pour amener Sandrine Fricot à ce niveau

Elle  ne valait ni 1M82/1.80  en espoir ou en junior comme Parmentier, Sins, Brige , ni 1.79 comme Schweitzer en cadette …..la meilleure de ces quatre sauteuses a pour l’instant atteint 1.83 ( Carole Brige à 23 ans , Marion est en cours de carrière)

Fricot n’avait pas plus  de dispositions  initiales que Bérard ou Omrani ,
Pas au point de sauter 15 cm plus haut ( Yassmina est en cours de carrière hepta , Veronique n’a jamais dépassé 1.78 en errant de Vittel à Remiremont , de Nancy à Reims et Neufchateau, multipliant les coaches)

CHEZ LES HOMMES nous n’avons pas un lorrain à 2M  alors que chaque saison nous détectons des cadets –juniors à 1.99/1.98  ou  à …..   2.07  comme le cadet Lehmann en 1980  ou Julien  Choffart  en 1996 en junior 1 / ou le junior Sepaniak  /2M12  en 1975/ dans son club avec une taille de….. 1M68  
C VELLE en espoir a  sauté 2.18   dans les années 90, avec deux coaches club dont HOZE,  puis en est resté là              

LONGUEUR

Le record de LOR   C Grimont –6.41- date de 1986 ; elle était coachée par un cts
Viviane Sildillia s’est approchée  à  6M37 à  25 ans puis 6M28 à 32 ans, en 2006, …. Sans coach 

B Raubert a sauté  6M24 en 1982 coachée par J  Bordellier, cadre technique


Les  minimes filles  à 5.75 ( Schmitt) les cadettes à 6M16 ( Schwarzwalder)
Les juniores- espoires à  plus de 6M  ( Blaise, Gérardot, Omrani ,  carrières en cours pour les deux dernières)   n’ont pas atteint  6M17

Chez les hommes SERVIUS et BRIGE ne sont pas remplacés ; pourtant Olivier Mertz sautait plus loin qu’eux en minime, pourtant les cousins Choffart  dont Yannick  7.58 à 20 ans cet été, ont le potentiel pour sauter aussi loin que Iola  7.84 qui a fait l’essentiel de sa carrière SANS COACH 



LE TRIPLE SAUT  ET LA PERCHE sont des disciplines féminines  récentes
Les records sont détenus par
une cadette /M FIACK / 3.80 en  2009
et une espoire  A GUENIOT qui  n’a plus dépassé ensuite 12.47 ;
la cadette P LETT n’a pas amélioré ses 12.46 de 2007 

Chez les hommes  les trois derniers  meilleurs perchistes  Nicolas Durand /Raphael Doub/ Thomas Reistroffer ont quitté leur coach club pour tenter leur chance ailleurs 

Au triple R Servius, en club, a porté  à 16.74 dans les années 90, le RL  qui dans les années 70  était à 16.33 / Rota était coaché par le CTR


Voirin  a  franchi 15M en faisant appel à un coach hors ligue  puis il a quitté la ligue qui ne conduit à 15M aucun des jeunes détectés à 14. 


EDDY RIVA  serait passé à côté d’une belle carrière  de marcheur s’il était resté dans son club formateur et n’avait rejoint  J Landormy  à  Epinal 
Plusieurs  Laura Duquesne  n’ont pas eu sa chance

Arnaud Starck et Julien Choffart avaient, ont, certainement  le potentiel pour faire plus de 8000 pts, mais isolés à  Vagney , Longwy  ou Forbach  comment lutter contre des adversaires suivis à l’Insep ou en pôle France ?
La décision de  Y OMRANI  de rejoindre PARIS  pour faire plus de  6000 , total  jamais atteint en Lorraine, apparaît comme une répons



La Lorraine, est elle condamnée à perdre ses meilleurs athlètes ?


La réponse est  AU CAS PAR CAS

Dans certaines disciplines, il n’y a de solution nulle part en France pour un certain niveau de performance internationale  ou  pour faire mieux qu’en Lorraine
Dans d’autres disciplines les rec de lor  sont loin du niveau national,  partir pour progresser  est un pari à tenter.

Les bilans et les records de Lorraine DEMONTRENT  que dans certaines disciplines le haut niveau national voire international est accessible, soit en club, soit avec l’aide d’un coach cts ou ETR

La lecture d’Athlerama permet de comparer le niveau régional et national

Les solutions sont connues puisque les lanceurs de marteau restent à Amnéville, puisque TAHRI est toujours messin, puisque des athlètes lorrains  occupent des rangs avantageux dans des bilans nationaux alors que les lorrains sont mal classés ou absents depuis 10/20/37 ans dans certaines disciplines 



1/ La  professionnalisation  des entraîneurs est une première solution puisque les meilleurs athlètes lorrains sont ou ont été MAJORITAIREMENT
coachés par des cadres techniques qui sont des professionnels ou par des entraîneurs professionnels pris en charge  par des clubs ou des collectivités territoriales


2/ La seconde solution  serait de professionnaliser UN OU DEUX clubs par département  pour leur donner les moyens de professionnaliser des athlètes et des coaches MAIS pour ce faire il faut que le club soit implanté dans un bassin démographique, économique, universitaire, d’envergure . Ces clubs phares entretenant des collaborations  d’aide avec les autres clubs de leur département ou zone géographique.   

3/ La  troisième solution serait d’unir les moyens  de plusieurs clubs voisins  pour constituer une association, une communauté d’intérêts, à l’exemple des communes qui se regroupent  pour faire face à des investissements trop lourds pour une seule cité.




Le  comité départemental  et la ligue sont des entités qui permettent d’organiser  ces « collectifs » pour des formations, des stages, des compétitions, pour louer des installations couvertes pour l’entraînement, pour mettre à disposition  et prendre en charge une équipe d’entraîneurs experts, au service de plusieurs clubs.

Amnéville et Piolanti  pour le marteau  pourraient être pionniers

D’autres lieux  bien  équipés, (Vittel et Metz  voire Nancy et  Epinal pour l’indoor, d’autres villes pour  la saison estivale) pourraient devenir des centres d’entraînement permanents ouverts aux athlètes et coaches de plusieurs clubs

Des entraîneurs identifiés  par spécialités, professionnalisés   à temps plein ou partiel,
au sein d’une équipe  départementale ou régionale,
  pourraient  accueillir  régulièrement des athlètes  de plusieurs clubs  dans ces centres d’entraînement
    

4/ La quatrième solution serait de spécialiser les  petits clubs  sur une discipline ou une famille de disciplines athlétiques  ou une catégorie d’athlètes CAR l’athlétisme est, non pas un sport, mais des sports, qui réclament des  installations, des  budgets de fonctionnement, des personnels, impossibles à financer dans toutes les villes.

Nous devons  innover  pour enrayer le déclin que l’augmentation des licenciés masque mal.  Des clubs ont disparu, d’autres survivent difficilement, en accueillant essentiellement des jeunes voire très jeunes
Les compétiteurs sont moins nombreux, moins performants hormis  les leaders
Les bilans  nationaux et régionaux en témoignent ET pourtant LE JOURNAL L’EQUIPE BAT SON RECORD DE VENTES APRES LE REC DU MONDE DU 100


L’athlé perf international  fait toujours vibrer le « grand public »
L’athlé perf  national peut se décliner au niveau d’une ligue : c’est un moyen de  susciter une mobilisation interne et externe 

         

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