Cette info m'est transmise par Philippe GONIGAM qui suit les travaux de la PREPARATION OLYMPIQUE, suite aux JO de Pékin.
EXTRAITS
Des athlètes « professionnels »
Les charges d’entraînement ont considérablement augmenté avec parallèlement des calendriers de compétitions eux aussi en augmentation. De nombreux pays sont organisés non pas comme la France autour du « double projet » mais sur un mode « mono projet ». Ces concurrents ont alors une entière disponibilité pour se préparer, ce qui représente en soit une menace pour nos équipes de France. C’est par exemple le cas du Taekwondo pour ne citer que ce sport où les athlètes sont considérés comme de véritables professionnels en Iran, Azerbaïdjan, Chine, Corée du sud…
D’un autre coté, les rémunérations augmentent comme en Grande Bretagne où les bourses sont conséquentes et représentent un équivalent salaire. Les primes aussi augmentent et se généralisent pour atteindre parfois des sommets (en centaines de milliers d’Euros !).Ou bien ce sont les situations sociales qui permettent une disponibilité tout en étant salarié à temps plein comme en Allemagne avec l’Armée (700 postes) la police (150 postes) et les douanes (40 postes), des chiffres bien supérieurs à nos possibilités en France. Pour toutes ces raisons la concurrence s’est durcie.
L’approche mentale de la performance
Pour aller chercher la médaille, la différence s’est souvent faite sur la qualité de l’engagement mental. Si cela reste une évidence, il nous a semblé que le degré d’engagement et de détermination à vouloir gagner prenait plus d’importance qu’avant. On peut se demander d’ailleurs si notre environnement n’est pas trop « confortable » par rapport à d’autres pays ou l’enjeu de la réussite s’assimile à un objectif de véritable promotion sociale.De fait en sport de combat notamment, la recherche de confrontation avec des pays plus « rugueux » devient une stratégie qui s’impose
MON commentaire
Les " professionnels" peuvent battre les "amateurs"; ensuite, entre pros, le problème reste le même : comment GAGNER, comment battre tous les autres pros ?
Par la préparation mentale ?
Oui la préparation mentale permet à ceux qui en font de battre ceux qui n'en font pas, parfois, pas toujours, la preuve ? les athlètes du Clan qui font beaucoup de préparation mentale perdent des courses, contre d'autres athlètes qui en font aussi ou qui n'en font pas.
TOUS LES ATHETES PROS FONT DE LA PREP MENTALE ET POURTANT ILS NE GAGNENT PAS TOUS
En revanche je suis d'accord pour retenir "le degré d'engagement" comme facteur de performance
Qu'est ce que le degré d'engagement ?
C'EST UN CHOIX, UNE DECISION, rien d'autre, et il suffit d'observer les choix des athlètes pour mesurer leur degré d'engagement.
CELUI qui choisit de s'entraîner trop ou pas assez, trop tôt ou trop tard, bien ou mal, avec un coach expert ou non, des partenaires ambitieux ou non, un environnement favorable ou handicapant, fait un CHOIX prend UNE DECISION.
Celui qui choisit le programme d'entraînement , l'entraîneur, les partenaires, les installations, les officiels, les blessures, les études, le manque de professionnalisme, le trop de confort ... pour expliquer son raté, met la conséquence de ses décisions en position de cause de ses difficultés.
En revanche oui, la collectivité, le pays, la fédé, la ligue, le club, le groupe d'entraînement doivent professionnaliser leur démarche.
La réalité psychologique et la réalité sociale, matérielle, ne se confondent pas
La préparation mentale est utile mais INSUFFISANTE sans un accompagnement psychologique qui est une aide à la prise de ........ DECISIONS
Une SUGGESTION de Vincent Vermuse
Les efforts de la ligue pour proposer aux cadets- juniors non admis aux championnats open des compétitions de remplacement sont insuffisants.
ST FLORENTIN c'est loin et les départementaux 54/88 n'attirent pas autant les Mosellans qu'un régional cadet.
Pourquoi ne pas organiser un régional minimes-cadets ouvert aux cadets non admis aux régionaux open ? Cette idée est une piste de réflexion qui a été évoquée et j'y souscris puisque l'on sait que les minimes-cadets ont des âges biologiques qui ne correspondent pas à leur âge chronologique.
Ainsi les minimes garçons, dont le leader 2009 est à 11.58 au 100, et une douzaine sont à moins de 11.85, pourraient ils être opposés aux cadets à plus de 11.85 non admis à l'Open ; cette suggestion ne s'oppose pas du tout à la volonté d'un Christian Ternet ou Juju Choffart de priviégier le triathlon minime dans un esprit radicalement différent de celui de l'OPEN, avec un accès le plus large possible, dans la seule limite des contraintes organisationnelles.
N'HESITEZ pas à commenter y compris de manière contradictoire ces infos et suggestions. Le ridicule ne tuant pas, tous les arguments sont admis.
EXTRAITS
Des athlètes « professionnels »
Les charges d’entraînement ont considérablement augmenté avec parallèlement des calendriers de compétitions eux aussi en augmentation. De nombreux pays sont organisés non pas comme la France autour du « double projet » mais sur un mode « mono projet ». Ces concurrents ont alors une entière disponibilité pour se préparer, ce qui représente en soit une menace pour nos équipes de France. C’est par exemple le cas du Taekwondo pour ne citer que ce sport où les athlètes sont considérés comme de véritables professionnels en Iran, Azerbaïdjan, Chine, Corée du sud…
D’un autre coté, les rémunérations augmentent comme en Grande Bretagne où les bourses sont conséquentes et représentent un équivalent salaire. Les primes aussi augmentent et se généralisent pour atteindre parfois des sommets (en centaines de milliers d’Euros !).Ou bien ce sont les situations sociales qui permettent une disponibilité tout en étant salarié à temps plein comme en Allemagne avec l’Armée (700 postes) la police (150 postes) et les douanes (40 postes), des chiffres bien supérieurs à nos possibilités en France. Pour toutes ces raisons la concurrence s’est durcie.
L’approche mentale de la performance
Pour aller chercher la médaille, la différence s’est souvent faite sur la qualité de l’engagement mental. Si cela reste une évidence, il nous a semblé que le degré d’engagement et de détermination à vouloir gagner prenait plus d’importance qu’avant. On peut se demander d’ailleurs si notre environnement n’est pas trop « confortable » par rapport à d’autres pays ou l’enjeu de la réussite s’assimile à un objectif de véritable promotion sociale.De fait en sport de combat notamment, la recherche de confrontation avec des pays plus « rugueux » devient une stratégie qui s’impose
MON commentaire
Les " professionnels" peuvent battre les "amateurs"; ensuite, entre pros, le problème reste le même : comment GAGNER, comment battre tous les autres pros ?
Par la préparation mentale ?
Oui la préparation mentale permet à ceux qui en font de battre ceux qui n'en font pas, parfois, pas toujours, la preuve ? les athlètes du Clan qui font beaucoup de préparation mentale perdent des courses, contre d'autres athlètes qui en font aussi ou qui n'en font pas.
TOUS LES ATHETES PROS FONT DE LA PREP MENTALE ET POURTANT ILS NE GAGNENT PAS TOUS
En revanche je suis d'accord pour retenir "le degré d'engagement" comme facteur de performance
Qu'est ce que le degré d'engagement ?
C'EST UN CHOIX, UNE DECISION, rien d'autre, et il suffit d'observer les choix des athlètes pour mesurer leur degré d'engagement.
CELUI qui choisit de s'entraîner trop ou pas assez, trop tôt ou trop tard, bien ou mal, avec un coach expert ou non, des partenaires ambitieux ou non, un environnement favorable ou handicapant, fait un CHOIX prend UNE DECISION.
Celui qui choisit le programme d'entraînement , l'entraîneur, les partenaires, les installations, les officiels, les blessures, les études, le manque de professionnalisme, le trop de confort ... pour expliquer son raté, met la conséquence de ses décisions en position de cause de ses difficultés.
En revanche oui, la collectivité, le pays, la fédé, la ligue, le club, le groupe d'entraînement doivent professionnaliser leur démarche.
La réalité psychologique et la réalité sociale, matérielle, ne se confondent pas
La préparation mentale est utile mais INSUFFISANTE sans un accompagnement psychologique qui est une aide à la prise de ........ DECISIONS
Une SUGGESTION de Vincent Vermuse
Les efforts de la ligue pour proposer aux cadets- juniors non admis aux championnats open des compétitions de remplacement sont insuffisants.
ST FLORENTIN c'est loin et les départementaux 54/88 n'attirent pas autant les Mosellans qu'un régional cadet.
Pourquoi ne pas organiser un régional minimes-cadets ouvert aux cadets non admis aux régionaux open ? Cette idée est une piste de réflexion qui a été évoquée et j'y souscris puisque l'on sait que les minimes-cadets ont des âges biologiques qui ne correspondent pas à leur âge chronologique.
Ainsi les minimes garçons, dont le leader 2009 est à 11.58 au 100, et une douzaine sont à moins de 11.85, pourraient ils être opposés aux cadets à plus de 11.85 non admis à l'Open ; cette suggestion ne s'oppose pas du tout à la volonté d'un Christian Ternet ou Juju Choffart de priviégier le triathlon minime dans un esprit radicalement différent de celui de l'OPEN, avec un accès le plus large possible, dans la seule limite des contraintes organisationnelles.
N'HESITEZ pas à commenter y compris de manière contradictoire ces infos et suggestions. Le ridicule ne tuant pas, tous les arguments sont admis.
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