Nous avons droit à la cuillère de bois trois fois sur quatre mais les HOMMES sauvent l’honneur, si besoin était, en se classant seconds.
Ce bilan par équipe est rehaussé par quelques vraies perfs et d’autres résultats encourageants pour un 21 mai 09.
Le cts doit des remerciements à tous les présents sur le stade, athlètes, coaches, officiels, dirigeants, accompagnateurs, supporters.
Nous n’avions jamais été si nombreux , même si il y a eu des trous encore dans la participation et si le titulaire dans certaines disciplines, était loin, très loin, du niveau du meilleur lorrain.
Le cts doit des remerciements à toutes les personnes qui, peu ou prou, l’ont aidé dans une tâche quotidienne, depuis un mois, pour informer, communiquer, solliciter, être à l’écoute, enregistrer les accords et les refus, les offres et les demandes, les modifications d’intention ou les forfaits de dernière minute, voire les absences sans explication.
Il y a bien entendu toujours des comportements encore plus ambivalents et parfois des attitudes qu’il ne faut pas craindre de qualifier de médiocres, mais les médiocres ne font du tort qu’à eux-mêmes, ils ne font pas de tort au cts ou à la ligue, ils ne font pas de tort aux gens de bien, qui en observant les médiocres, mesurent la chance qu’ils ont d’échapper à ce travers.
Cependant chacun a le droit de voir midi à sa porte.
L’espace ci-dessous est donc réservé aux commentaires de ceux qui ont souffert des défaillances et incapacités du cts et de la ligue, l’ami Stéphane en particulier.
Pour lui, c’est clair, la coupe de l’AMITIE se résume à deux athlètes qui n’ont pas couru le 400 et le 200.
Le responsable et coupable principal est identifié : c’est le cts, qui mériterait d’être sanctionné. La ligue après ce forfait ne doit plus compter sur aucune participation d’aucun athlète de son club, pour aucune compétition, ad vitam aeternam.
La frustration génère des paroles désagréables à entendre, surtout dans la bouche d’un coach ami, mais un cts professionnel a reçu une formation, il connait les mécanismes psychiques qui engendrent de telles analyses, à chaud, le soir même à 21H30, au téléphone sur l’autoroute.
Il tente en vain de raisonner le coach frustré de résultats, après avoir longuement, très longuement, fourni aux deux athlètes et à la mère de l’un d’eux, des informations pour atténuer la légitime contrariété et leur permettre d’accéder à un niveau de compréhension complexe, moins sommaire.
Stéph, je pense que tu te trompes, mais au moins m’as-tu craché ton venin sans te dissimuler, c’est mieux que de le faire en traitre, et puis c’était à chaud, donc tu as droit à des circonstances atténuantes.
Enfin tes attaques contre le cts sont au diapason du soutien que tu lui accordes souvent.
Et puis ton courroux est aussi un témoignage de défense des intérêts de tes athlètes, donc, je te comprends et je ne te blâme en retour … qu’à moitié.
Si c’est moi qui me trompe, tu as le droit à froid, ici, d’en rajouter une couche sur mes défaillances.
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