REUNION ETR
Samedi 28 MARS 2009/à Nancy - LLA
12 présents + le président de ligue
(Nesen, Chrétien, Comoretto, Dupré, Duchene, Stybel, Lénard, Poitel, f Fabiani, Gobert, Romary, Berend, Ragni)
Cette réunion ETR est la 14° depuis le 25/09/04 ; c’est en 2004 que cette mission m’a été confiée de coordonner une équipe d’entraîneurs ligue, restreinte, stricto sensu, aux trois cts, et à cinq entraîneurs de club, indemnisés par la direction régionale jeunesse et sports et la ligue, pour suivre les meilleurs athlètes lorrains, et former, perfectionner les entraîneurs.
Dès 2004 je me suis fixé comme objectif d’élargir ce cercle de huit personnes à une équipe TECHNIQUE ELARGIE aux meilleurs entraîneurs de la ligue où à ceux qui désiraient le devenir.
En effet pour devenir ou rester le coach de
TAHRI/RIVA/BAGY/BORTOLUZZI/CHOFFART/ PICOCHE et autres meilleurs athlètes lorrains, il ne suffit pas d’avoir la chance de les rencontrer ou d’être leur premier coach ou leur second ou leur …..septième ; pour détecter, initier, perfectionner, obtenir la confiance des athlètes, les faire progresser jusque dans la liste des meilleurs athlètes lorrains de l’Histoire ou de la saison, il faut souvent la disponibilité et le talent de plusieurs entraîneurs.
Il faut aussi que la transition entre les coaches soit acceptée par toutes les parties : ce n’est ni toujours facile, ni toujours possible, mais en parler AVANT d’agir est une exigence déontologique qui favorise la réussite athlétique.
Un seul et même coach ne peut pas faire tout, tout seul ; le plus souvent un premier coach détecte et initie, un autre perfectionne et accompagne les athlètes en période de croissance jusqu’à un certain niveau de performance.
Parfois, c’est vrai, un jeune athlète atteint le meilleur niveau lorrain, entre dans le bilan lorrain tous temps, voire bat le record de Lorraine, avec un premier entraîneur. Découvrir avec un premier athlète des difficultés et des pièges inconnus est une épreuve utile, formatrice pour un coach, mais souvent fatale à l’athlète-cobaye.
En effet l’attente, l’exigence, de résultats augmente avec le niveau de performance, alors que les progrès sont plus difficiles à obtenir.
Il faut s’entraîner plus et mieux pour progresser, dans des proportions moindres, contre des adversaires plus nombreux que les seuls « jeunes » de la catégorie d’âge, alors qu’en début de carrière on progresse beaucoup, en s’entraînant moins.
Il faut en senior, être plus disponible, du côté de l’athlète et du coach, faire plus de stages, plus de compétitions lointaines, il faut se former, et gérer des dimensions nouvelles de la performance, (médicales, psychologiques, professionnelles, sociales, économiques…) qui existent beaucoup moins dans les catégories jeunes.
Le bénévolat se transforme en sacerdoce impossible à soutenir longtemps, et la concurrence des professionnels est rapidement insoutenable.
C’est la raison pour laquelle les athlètes ambitieux finissent par rejoindre des coaches professionnels à temps plein ou partiel.
Le plus souvent ces athlètes « consomment » plusieurs coaches pour atteindre leur intervalle de confiance.
C’est le cas pour les six athlètes sus cités car même RAPHAEL, coach professionnel, ne peut pas entraîner JEROME à Amnéville si ce dernier pour des raisons universitaires doit quitter
IDEM pour Marika Leroy qui, de Saint Avold à Sarreguemines, est passée par Amnéville et PIOLANTI, mais aussi par 18 mois aux USA, en attendant de rejoindre bientôt ….. SHANGAI.
Idem pour Boccalate qui lui aussi a un projet universitaire outre-atlantique.
Nicolas, le second coach de Laurane, est lui aussi un « professionnel » qui a relayé un bénévole.
JUJU est le fils de son père qui lui a consacré une attention paternelle de tous les instants mais pourtant JUJU a sollicité d’autres conseils, a séjourné à Longwy et Melun, et…. il n’est pas au terme de son voyage athlétique.
Bachir a mis sur orbite internationale Hakim, en étant un coach semi pro, puis il a cédé la place à des coaches encore plus « pro » pour orienter sa carrière professionnelle dans une autre direction ; mais Hakim a rapidement décidé de suivre une formation et devenir autonome.
Eddy et surtout Bouabdellah ont « consommé » plusieurs entraîneurs avant Landormy/Dirringer.
Il y a toujours des exceptions et un entraîneur peut accompagner un minime troisième au cross départemental 54 jusqu’au sommet du demi fond lorrain et national, jusqu’à trois participations olympiques mais les exceptions, on le sait….. confirment la règle.
Habémont –Thiebaut c’est rarissime et pas seulement en Lorraine. Zabé a fait une partie de sa carrière professionnelle sur un poste de prof au creps, incluant une mission athlé dans son service professionnel, et il a bénéficié du soutien du plus grand club lorrain.
A Nancy, Metz , Forbach, Longwy, Remiremont, Epinal, Sarreguemines, Thaon, Saint Dié, Vittel, FM, Bar le duc, Sarrebourg, il y a, ou il y a eu, des coaches professionnels en plus des cts.
Farida Fates a réussi avec Joel BASTIEN puis souffert, et avec elle un club tout entier, du départ de son coach bénévole, départ pour obligations professionnelles.
Des enseignants eps , et des éducateurs sportifs municipaux entraînent des élèves grâce à des dispositifs qui vont de la classe promo à l’accompagnement éducatif , en attendant le prochain décret qui ouvrira des possibilités d’embauche de chômeurs diplômés entraîneurs ou en cours de formation, avec une aide de 95% de l’Etat….. la première année
Des clubs d’athlé versent des vacations aux cadres qui prennent en charge les écoles d’athlétisme, d’autres versent de maigres indemnités à des entraîneurs clubs qui sont massivement bénévoles.
Je dois donc remercier trois coaches ETR
GOBERT présent pour la 12° fois (il a la confiance de Miclo recordwoman de Lorraine et Choquert proche du 20° miler lorrain de tous les temps, qui ont été détectés, initiés, perfectionnés par COPPA/MAGRON) ; Laurent occupe un emploi à temps plein au service informatique du CNRS.
FABIANI présent pour la 6° fois ; le directeur technique des PTTN est un des 20 meilleurs milers lorrains de tous les temps et il accompagne la carrière de Lucie Perrin seconde lorraine tous temps sur 4H.
ROMARY était au rendez vous pour la 5° fois ( il détient le rec de lor du 110H et figure dans le top 10 français tous temps ; il a maintenu Virginie S-Seryeis à la 12°place du bilan lorrain tous temps, qu’elle avait conquise avec Schwarzwalder et Bardy, il a relayé en collaboration avec T Lecerf, DELOY/LEMARCHAND qui ont détecté, initié, perfectionné la juniore Oriane Gérardot ).
Des remerciements encore plus appuyés aux coaches bénévoles, non indemnisés comme membres de l’ETR officielle.
LENARD et DUPRE en étaient à leur 8° réunion ETR (ils ont initié et perfectionné des athlètes du niveau podium et/ou top 20 lorrain tous temps, avant de gagner la confiance aujourd’hui de Guillon et Schwenck /Viot et Joly ).
POITEL/ DUCHENE ont été présents 6 fois ( ils ont la confiance de Espinouze, Jacquot ; athlètes qui figurent, comme leurs coaches, dans le bilan des meilleurs athlètes lorrains de tous les temps).
Se sont excusés de leur indisponibilité, ce samedi, 12 entraîneurs parmi lesquels
Hue qui est venu à 9 réunions au cours de la dernière olympiade, Henriot/7, Piolanti /6,
Pojer, Nicolaieff, Labridy, Grouselle qui ont participé 5 fois,
Ainsi que
Les « jeunes » coaches JP Thomas et N Jeudy, présents trois fois depuis le 17/09/07 (Laurane Picoche et Marie Donineaux étant leur première « performance » de coach niveau ETR ).
M’barek Bailla, qui a pris le relais de T Fricker pour suivre son frère, junior, a téléphoné dans l’après coup ; il avait promis de faire son entrée ce samedi, mais le futur papa a dû renoncer au dernier moment à laisser seule une jeune épouse, en période de préparation terminale.
La qualité des coaches que je viens de citer me dispense de tout autre commentaire sur l’utilité formative et relationnelle de ces rencontres.
Ces coaches ne sont pas des passants du hasard, ils font partie, par leurs performances d’athlètes et / ou de coaches, de l’Histoire et / ou de l’actualité de l’athlétisme lorrain.
Ils ont des expériences, des formations, des bilans divers, des convictions techniques et idéologiques diverses, mais ils ont un trait en commun :
UNE AMBITION POUR EUX-MEMES, POUR LEURS ATHLETES, POUR LEUR CLUB
Mon rôle est de leur dire que ces ambitions sont la richesse de la ligue, un trésor plus précieux qu’un athlète recordman ou champion, car un coach qui a du talent et qui accepte le débat, produira plusieurs athlètes, recordman, champion ou listé dans les meilleurs de la ligue.
La difficulté est de mettre ces ambitions individuelles, qui ont souvent du mal à cohabiter au sein d’un même club, au service d’une entité collective ligue, encore plus large.
Un cts a reçu une formation pour faire face à cette difficulté, il sait que l’outil principal est
Je remercie encore Eric CHRETIEN du cosv, le 101 ° participant, en 54 mois, venu à au moins une réunion (pour représenter ses collègues JP et KACI, il a surtout été auditeur et son commentaire m’intéresse).
Je remercie Christian BEREND, seul représentant de A2M, et avec 4 participations, le plus présent de tous les coaches messins depuis 2004 et Daniel NESEN, starter officiel intervenant dans la formation des jeunes entraîneurs, et présent pour la 3° fois.
Je remercie Dany STYBEL, pour cette première participation, après ses présences en stages ligue, en colloques ligue ; il a accompagné la jeune Florence Moissette dans le top 20 lorrain tous temps et il accède, avec elle, au cercle des meilleurs coaches lorrains.
Sur 101 présents une fois en 14 réunions, 53 ne reviennent pas, donc ne trouvent pas d’intérêt à débattre entre coaches, mais 48 font une seconde apparition et 39 une troisième, ce qui est déjà un signe d’adhésion à l’échange.
22 ENTRAÎNEURS affichent 4 participations, donc une par an.
Onze sont convaincus (présents 12/9/8/7/6 fois sur 14) et ce n’est pas un hasard ils sont aussi parmi les coaches les plus productifs.
COMPTE RENDU DE SEANCE
NOUS sommes restés en grand groupe pratiquement tout l’après midi, les trois coaches sprint se séparant des autres en fin de réunion pour un travail plus ciblé sur le programme de musculation de Imaad HALLAY.
RAGNI défendant une option spécifique à base de circuits que LENARD /DUPRE jugent insuffisante en développement de la force max.
Ce débat avait déjà eu lieu en 2002 : RAGNI et DUPRE utilisant deux programmes de musculation d’inspirations différentes pour coacher deux athlètes aux performances proches.
(CLAUDEL 50.05/BARTHES 50.44)
Le renfort de LENARD qui estime comme DUPRE que IMAAD manque de puissance, la progression lente de IMAAD sur 60, sa décision de s’entraîner plus, ouvrent des perspectives nouvelles qui n’existaient pas en 2008.
Le programme de musculation a été accru, l’électro stim a été ajoutée, mais il y a toujours débat
Entre les deux écoles
1/ SOULEVER LOURD en demi et quart de squats « barre derrière la nuque » ou en presse ou tirages soulevés de terre, des exercices reconnus comme permettant de développer la force max MAIS…… dans des positions non spécifiques à la course et à des angles articulaires non spécifiques, qui permettent des gains en force max en partie NON TRANSFERABLES à la force de l’appui du pied au sol
2/ SOULEVER moins lourd en travaillant « barre devant », d’abord en squats complets ou épaulés jetés PUIS en demi squats, une jambe, instables, en arrachés fentes, donc dans des positions angulaires variées puis spécifiques, mais ne permettant pas d‘atteindre le même dvpt de force max.
Il y a peut être un compromis à trouver entre les méthodes, qui respecterait la singularité du sujet Hallay, le souci d’éviter les blessures.
Un avis d’expert sera sollicité.
Le début de l’après midi a été consacré à un débat sur la nouvelle organisation des régionaux
Le président de ligue a réaffirmé sa volonté d’organiser des championnats, plus qualitatifs, moins longs, regroupant l’élite lorraine, afin de favoriser les performances et mettre en vitrine, à usage interne et externe, une image valorisant l’athlétisme lorrain.
Il a cité des résultats enregistrés aux régionaux, indignes d’un régional, qui d’une part sont une mauvaise publicité pour le club, la ligue et l’athlétisme, d’autre part alourdissent la durée et le rythme de l’organisation des courses et des concours.
Il a précisé que cette philosophie était un credo personnel, que personne ne l’avait influencé dans cette orientation.
Il a répété qu’il avait conscience que cette évolution écartait les athlètes moins performants des championnats régionaux mais il a insisté sur le fait qu’une offre nouvelle serait faite à ces athlètes.
Des critériums, des départementaux ouverts à tous les athlètes de la ligue, des meetings régionaux, seront organisés en janvier et juin, voire en février et juillet, et pourquoi pas la veille des régionaux.
DONC les athlètes moins performants auront droit eux aussi à deux compétitions régionales, à la même période que les lorrains les plus performants.
Le président de ligue a ensuite passé la parole à David DUCHENE qui, chiffres à l’appui, a démontré que
-1/3 des demandeurs de qualifications aux régionaux ne se déplacent pas le jour de la compétition.
-1/3 des qualifiés sont admis avec des minima E donc très faibles.
- certains demandeurs de repêchages sont absents aux critériums ou au départementaux
- on ne peut pas soutenir que les cadets-juniors soient négligés quand la simulation établit que 133 cadets et 69 juniors sont éligibles aux régionaux.
Malgré ce plaidoyer il reste des partisans pour des formules avec
-deux championnats, un réservé aux jeunes et un ouvert à tous
-un ou deux jours de championnats open mais sur tout le programme
Formules déjà tentées et dont le bilan négatif a suscité la réflexion et la volonté de changement
D’autres ont proposé
-des minima plus faciles pour les jeunes que pour les espoirs-seniors afin de pouvoir repêcher par exemple des SPRINTERS cadets-juniors proches de 12.00/24.40, en éliminant les espoirs seniors à plus de 11.60/23.50
Donc exactement le contraire de l’effet qualitatif visé.
Argumentation n°1
Les cadets juniors à 12.00/24.40 vont progresser sous 11.60/23.50 alors que les espoirs- seniors à 11.61/23.51 ont atteint leurs limites et ne peuvent pas progresser.
Tous les bilans de suivi démontrent le contraire ; progresser sous 11.60/23.50 ne dépend nullement de l’âge du sprinter mais de son club et de son entraîneur.
Dans la moitié des clubs lorrains, personne ne court sous 11.60/23.50, ni les ex jeunes à 12.00/24.40, ni les « espoir-senior ».
Dans la moitié des clubs qui ont des sprinters -cadets à vétérans- qui débutent ou progressent ou se maintiennent sous 11.60 (70 en tout entre 2003/2008) la majorité stagne à 11.40 voire 11.50.
La minorité qui atteint 11.30, et moins, est massivement composée d’espoirs –seniors.
C’est donc cette population qu’il faut privilégier pour avoir des coureurs à 11.30 et moins.
24 LORRAINS ont couru en 10.80 et moins
Un cadet qui n’a plus progressé en junior
Trois juniors qui n’ont plus progressé en espoir
9 espoirs qui n’ont plus progressé en senior
11 SENIORS
C’est donc cette même population qu’il faut privilégier aussi pour avoir des coureurs à 10.80 ou moins.
Privilégier les cadets-juniors aboutit à massifier les sprinters à plus de 11.30, plus de 11.60 et demain à 12.00 si faire 12.00 en cadet- junior SUFFIT pour accéder au régional.
Argumentation 2
Si on met en œuvre cette politique « élitiste » on va perdre des cadets-juniors qui viennent au club pour s’amuser et non pour faire de la performance.
En cinq ans, sans politique « élitiste » avec une politique « ludique »
Mais ces pertes ont été largement compensées par un gain de 15000 vétérans et 10 000 poussins-éveil athlétique qui aboutissent à + 20 700 licenciés.
Argumentation trois
La ligue a peut-être raison de vouloir développer une politique attractive mais moi, dit STEPH, j’ai une casquette club que je ne peux pas et ne veux pas enlever ; je n’ai pas envie de séparer mon groupe de sprinters en deux ; je veux pouvoir amener au régional mes sprinters à moins de 11.60 mais aussi ceux qui valent plus de 11.60 ;
D’une part pour la dynamique de mon groupe, et de mon club,
D’autre part pour ne pas avoir à multiplier par deux les frais de déplacement et pour ne pas avoir à me mobiliser, moi coach bénévole, deux fois.
Cet argument, le plus sincère, pose bien les termes du débat
Les championnats open, le demi programme, les minima, le créneau perf, s’inscrivent dans une autre pratique de l’athlétisme, plus performante, qui oblige les clubs, les entraîneurs
à modifier leurs habitudes, à mettre une dose de professionnalisme dans leur engagement bénévole.
Par exemple, à s’entendre dans le club pour se répartir l’accompagnement en compétition,
et faire progresser les athlètes à l’entraînement au lieu de demander la baisse des minima.
Des bénévoles d’un même club, peuvent se déplacer en compétition chacun avec deux ou trois jeunes athlètes ; un club pro ne peut pas les prendre tous en charge, il va organiser le suivi pour le rentabiliser.
Et cette exigence dépasse le cadre club
Elle oblige les coaches de la même spécialité à s’entendre et s’entr’aider, à débattre pour faire face à des minima durcis et accéder à un régional plus attractif parce que plus performant.
Le président de ligue a pris note des différentes positions avant de quitter la séance en prodiguant ses encouragements aux coaches pour les discussions techniques à suivre.
Le cts lui a demandé un soutien financier pour organiser la prochaine réunion ETR de septembre 2009 dans des conditions de convivialité semblables à celles de sept 2008 ; le coût de cette réunion de mars étant limité aux frais de déplacement.
1 commentaire:
Toute une après midi pour en arriver la et surtout pour le raconter a tout le monde!Ne serait il pas mieux d'enregistrer la réunion ETR grace a une caméra afin de publier celle ci sur votre blog et faire partager les autres personnes de vos pensées?Il me semble qu'il serait bon de mettre au gout du jour vos méthodes.Si vous pensez qu'un cadet-junior qu'il soit en 11.00 ou en 12.00 a envie de se tapper une demi heure de lecture (ce que j'ai fait) vous etes loin du compte.IL prefererait a sa guise visionner les passages qui l' interesse sur la video.En ce qui concerne les minimas...Ils ne sont toujours pas affichés et certains athlètes voudraient savoir quels temps et quels perfs ils doivent faire pour se qualifier.Une saison estivale ca se prépare aussi avec les objectifs!Merci de m'avoir lu je vous ai donné ma parole vous en avez profité a vous maintenant en retour de me donner la votre afin que j'en profite encore un an.
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