Premier meeting indoor Metz
La presse a souligné certaines carences organisationnelles, c’est son rôle de dire que l’on ne gère pas des athlètes professionnels, le numéro 7 des USA sur 400, le numéro 2 transalpin en sprint, qui traversent continents et océans pour gagner leur vie en se donnant en spectacle, comme des athlètes qui font de l’athlé pour leur seul plaisir personnel.
Mais quel bonheur pour nous compétiteurs ordinaires de voir à Metz GREG NIXON, un ex jeune footballeur, converti comme Hallay, Guillon, Marsal à la religion du track and field, qui en trois saisons, à raison de quatre séances par semaine, réussit 20.42/45.20/45.81i, avec un programme d’entraînement basique…
Greg a couru en 20.89 en sortant des vestiaires de son terrain de football américain ; en Lorraine ce serait un record de ligue ; à Orléans en France aussi mais à la nouvelle ORLEANS en Louisianne, où il vit, c’est tout juste bon pour faire du… 400
Je vous détaille le reste de son programme à notre prochaine réunion ETR car IMAAD va encore me reprocher d’être trop long dans mes commentaires.
Il faut quand même que je vous dise un mot du fier Italien, le Sicilien Alessandro CAVALLERO, que je n’ai pas lâché pendant ces deux jours, pour qu’il m’aide à convaincre Michel ou Muth de courir en moins de 50 en indoor.
Normalement David et Anthony devraient courir en MOINS DE 50 prochainement.
Parti de son île mardi à cinq heures du mat pour faire sa rentrée à Metz plutôt qu’à Bordeaux, parce qu’il a de la culture et qu’il sait que si les Bordelais préfèrent les Anglais, les Lorrains préfèrent les Italiens, CAVALERRO s’est retrouvé avec son pbi à 46.71… dans la série B … Il a fait la gueule et encore plus quand il a vu le buffet, surpeuplé et sans … Pasta.
J’ai voulu l’emmener manger les meilleures pâtes de Metz « chez Rosa » ou au 83, le resto préféré de PADOVANO, un Italien qui a failli être l’avant centre du fc metz ;
J’ai appelé Jérôme le cuisinier qui était prêt à nous servir « aldente » mais GREG et sa copine canadienne TABIA, la triple sauteuse, voulaient aller dans un fast food.
Comment concilier l’ancien et le nouveau monde?
Je les ai ramenés à l’hôtel pour qu’ils n’aient pas à attendre la navette et j’ai pris le chemin des écoliers : les vitraux de la cathédrale, le théatre, le temple, les places de Metz dont l’éclairage nocturne accroît la majesté, ou le charme plus intime, l’Arsenal, le palais du Gouverneur, l’hôtel du magasin aux vivres de Charles Quint, les arcades chargées d’histoire surveillées par la statue de St Louis.
Je ne sais pas si nos dieux du stade ont retenu les noms de tous les saints, des places de METZ, mais ils ont compris que quand les USA ou l’Italie n’existaient pas encore, des enfants couraient déjà dans les rues de METZ.
Je leur ai expliqué que deux pays se sont disputés la possession de la ville et ils m’ont répondu qu’il n’y avait pas de doute sur le fait que Metz était française, puisqu’elle était belle comme les femmes françaises.
La Canadienne, et l’Américain, le Sicilien, n’avaient plus besoin que je traduise pour qu’ils se comprennent : leurs onomatopées étaient explicitement admiratives.
Le OH qui ponctuait che bella cita était aussi celui de… nice city really…
Si Dominique les invite ils seront à Metz l’an prochain et même dès… juillet, pour courir dans la série A, se promener au bord du plan d‘eau, visiter le musée Pompidou et arroser de vin de Moselle un T BONE ou une pasta aschiutta.
La presse a souligné certaines carences organisationnelles, c’est son rôle de dire que l’on ne gère pas des athlètes professionnels, le numéro 7 des USA sur 400, le numéro 2 transalpin en sprint, qui traversent continents et océans pour gagner leur vie en se donnant en spectacle, comme des athlètes qui font de l’athlé pour leur seul plaisir personnel.
Mais quel bonheur pour nous compétiteurs ordinaires de voir à Metz GREG NIXON, un ex jeune footballeur, converti comme Hallay, Guillon, Marsal à la religion du track and field, qui en trois saisons, à raison de quatre séances par semaine, réussit 20.42/45.20/45.81i, avec un programme d’entraînement basique…
Greg a couru en 20.89 en sortant des vestiaires de son terrain de football américain ; en Lorraine ce serait un record de ligue ; à Orléans en France aussi mais à la nouvelle ORLEANS en Louisianne, où il vit, c’est tout juste bon pour faire du… 400
Je vous détaille le reste de son programme à notre prochaine réunion ETR car IMAAD va encore me reprocher d’être trop long dans mes commentaires.
Il faut quand même que je vous dise un mot du fier Italien, le Sicilien Alessandro CAVALLERO, que je n’ai pas lâché pendant ces deux jours, pour qu’il m’aide à convaincre Michel ou Muth de courir en moins de 50 en indoor.
Normalement David et Anthony devraient courir en MOINS DE 50 prochainement.
Parti de son île mardi à cinq heures du mat pour faire sa rentrée à Metz plutôt qu’à Bordeaux, parce qu’il a de la culture et qu’il sait que si les Bordelais préfèrent les Anglais, les Lorrains préfèrent les Italiens, CAVALERRO s’est retrouvé avec son pbi à 46.71… dans la série B … Il a fait la gueule et encore plus quand il a vu le buffet, surpeuplé et sans … Pasta.
J’ai voulu l’emmener manger les meilleures pâtes de Metz « chez Rosa » ou au 83, le resto préféré de PADOVANO, un Italien qui a failli être l’avant centre du fc metz ;
J’ai appelé Jérôme le cuisinier qui était prêt à nous servir « aldente » mais GREG et sa copine canadienne TABIA, la triple sauteuse, voulaient aller dans un fast food.
Comment concilier l’ancien et le nouveau monde?
Je les ai ramenés à l’hôtel pour qu’ils n’aient pas à attendre la navette et j’ai pris le chemin des écoliers : les vitraux de la cathédrale, le théatre, le temple, les places de Metz dont l’éclairage nocturne accroît la majesté, ou le charme plus intime, l’Arsenal, le palais du Gouverneur, l’hôtel du magasin aux vivres de Charles Quint, les arcades chargées d’histoire surveillées par la statue de St Louis.
Je ne sais pas si nos dieux du stade ont retenu les noms de tous les saints, des places de METZ, mais ils ont compris que quand les USA ou l’Italie n’existaient pas encore, des enfants couraient déjà dans les rues de METZ.
Je leur ai expliqué que deux pays se sont disputés la possession de la ville et ils m’ont répondu qu’il n’y avait pas de doute sur le fait que Metz était française, puisqu’elle était belle comme les femmes françaises.
La Canadienne, et l’Américain, le Sicilien, n’avaient plus besoin que je traduise pour qu’ils se comprennent : leurs onomatopées étaient explicitement admiratives.
Le OH qui ponctuait che bella cita était aussi celui de… nice city really…
Si Dominique les invite ils seront à Metz l’an prochain et même dès… juillet, pour courir dans la série A, se promener au bord du plan d‘eau, visiter le musée Pompidou et arroser de vin de Moselle un T BONE ou une pasta aschiutta.
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