O MERTZ + GROUPES HUE ET RAGNI INCOMPLETS SOIT 6 ATHLÈTES POUR DEUX COACHES ,
Il est important que les coaches et les athlètes qui ont donné leur accord pour cette séance commune , surtout les athlètes, car les coaches eux peuvent se relayer, confirment qu'ils adhèrent et soient assidus . La ligue paye ce créneau pour des athlètes d'un niveau minimal avec un seuil d'aspiration qui exige un entraînement régulier ( JP Kuhn a reçu le feu vert du président de la ligue, il est ajouté à la liste des ayant droit)
Cette séance commune n'a pas seulement pour but de permettre un accès gratuit aux installations pour les athlètes non messins du suivi ligue, elle a aussi et surtout deux autres objectifs.
Augmenter le niveau d'exigence donc de qualité de la séance en regroupant plusieurs athlètes du même niveau de performance et d'ambition.
Provoquer le débat formatif entre coaches en confrontant les méthodologies d'entraînement .
Après seulement deux séances avec des athlètes de quatre groupes et trois coaches que constate-t-on ?
En SEPTEMBRE/OCTOBRE certains reprennent, plus ou moins tardivement, avec ou sans compétition , après des breaks plus ou moins prolongés.
Tous ont une dominante aérobie dans leur programme mais
certains travaillent exclusivement en capacité à 70 % DE LEUR VMA pendant des temps d'effort inférieurs à trente minutes ou supérieurs à 40 MN ( sprint court- sprint long )
D'autres font déja de la vma ou de la puissance aérobie donc à 100 % de leur vma en supplément d'un travail en capacité à 70 %
D'autres ne font pas de capacité , ne courent jamais à 70 % pendant trente nimutes, et font soit un travail de vma proche de 100% soit un travail de "on ne sait pas quoi" , en courant moins de trente minutes à moins de 70 % ( ce qui pour des athlètes espoirs seniors niveau ligue y compris sprint court ne développe ni la capacité ni la puissance )
à discuter
Autres variantes observées ou discutées entre coaches
certains courent seulement ,
d'autres courent, nagent font du vélo , ou font de la ppg, voire de la musculation en aérobie , enchaînant gainages et exercices d'étirements, mouvements gymniques et bondissements ou séries longues en musculation , à 70 % et moins du MAX, en récupérant un temps égal au temps d'effort, sans récupération plus longue pendant parfois trente minutes ou pendant deux fois trois fois trente minutes avec récup de 5/6 mn
Enfin la durée totale de la séance aérobie réelle EST variable
(temps du footing + temps réel d'étirements gainages ppg ET OU temps réel de vma ) peut aller de moins d'une heure à 1H30
pour ceux qui ajoutent à 35/40 mn de course ininterrompue, 50 à 55 mn de ppg ou musculation réelle PENDANT une séance qui en tout dure 2H 30 puisque en ppg ils travaillent en discontinu ( alternance travail- repos)
combien de temps votre séance effective dure t-elle ?
Dernières variantes , certains en octobre font des compets ou de la vitesse spécifique et sprintent à 100% du moment , à l'entraînement, d'autres font de la fréquence non spécifique, d'autres ne font que de la technique vitesse , sans courir à 100% et d'autres ne font aucun entraînement dans ce secteur .
à quel moment court t-on à 100% à l'entraînement avec chronos starts et pointes ?
Si on admet que la période de forme se situe en janvier février , à quel moment doit on commencer à travailler à 100% de vma , frontière qui optimise le développement aérobie mais active aussi la filière anaérobie, à quel moment à plus de 100% jusqu' à 130 %
LES CHRONOS DE DECEMBRE montrent que beaucoup sont en forme précoce, ce qui est compréhensible si en octobre ils ont déja entamé anaérobie et vitesse
Cette année la salle de metz va encore accentuer ce travers car tous voudront briller dans ce nouvel écrin . Inutile de se presser EN OCTOBRE il est préférable de retarder le travail qualitatif en insistant sur le quantitatif en capacité car l'aérobie libère la vitesse disent les coaches demi fond et le sprinter peut lui aussi bénéficier des effets sur le coeur et les vaisseaux sanguins, d'un travail lent et long qui certes ne produit pas directement la perf neuro musculaire, mais produit la capacité à s'entraîner plus avec des risques diminués d'accident musculaire .
à discuter
A + de 100 % de vma le sprinter est dans la filière anaérobie et pour les meilleurs qui ont plus de 20 de vma , 130% c'est 28 km heure,voire plus,
A quel moment courir encore plus vite pour atteindre les vitesses maximales 33 km heure pour le 100/200 régional , trente pour le sprint long ?
Chaque coach possède sa recette et il serait intéressant de les comparer
En ce qui me concerne , je demande aux athlètes de reprendre en septembre et nous restons en capacité jusqu'à la toussaint ( les MEILLEURS sprinters longs tiennent jusqu'à plus de 40 MN à 15/16 KM HEURE, les plus jeunes ou les moins performants des sprinters courts moins de 35 MN à 13 )
Fin octobre dans le parcours du footing des passages en côte sont introduits qui font basculer le travail de capacité en puissance et ce footing est suivi de vma piste à 100% et plus )
En novembre et décembre l'intensité croît, et cette séance aérobie devient anaérobie en capacité sur des temps d'efforts dégréssifs ( 1 mn à 45 SEC sprint long et moins pour le sprint court ) avec des récup qui augmentent ( égales puis supérieures au tps d'efFort)
ON évolue vers de la puissance puis cette séance disparait du programme
UNE séance PAR SEMAINE MINIMUM reste toujours précédée d'un footing en capacité mais trente minutes seulement sans chercher à aller plus vite mais sans non plus faire semblant en courant en dessous de 70 % de vma
En période de compétition les footings deviennent des moments pour activer la circulation , avant effort , pour penser à se mettre dans la séance ou dans la compet, ils durent moins de trente minutes , il n'y a plus d'exigence de rythme , on ne développe plus rien dans se secteur et pour l'échauffement les exercices d'étirements non maximaux ou les gammes techniques ou les exercices de mentalisation remplacent avantageusement le footing.
Il est important que les coaches et les athlètes qui ont donné leur accord pour cette séance commune , surtout les athlètes, car les coaches eux peuvent se relayer, confirment qu'ils adhèrent et soient assidus . La ligue paye ce créneau pour des athlètes d'un niveau minimal avec un seuil d'aspiration qui exige un entraînement régulier ( JP Kuhn a reçu le feu vert du président de la ligue, il est ajouté à la liste des ayant droit)
Cette séance commune n'a pas seulement pour but de permettre un accès gratuit aux installations pour les athlètes non messins du suivi ligue, elle a aussi et surtout deux autres objectifs.
Augmenter le niveau d'exigence donc de qualité de la séance en regroupant plusieurs athlètes du même niveau de performance et d'ambition.
Provoquer le débat formatif entre coaches en confrontant les méthodologies d'entraînement .
Après seulement deux séances avec des athlètes de quatre groupes et trois coaches que constate-t-on ?
En SEPTEMBRE/OCTOBRE certains reprennent, plus ou moins tardivement, avec ou sans compétition , après des breaks plus ou moins prolongés.
Tous ont une dominante aérobie dans leur programme mais
certains travaillent exclusivement en capacité à 70 % DE LEUR VMA pendant des temps d'effort inférieurs à trente minutes ou supérieurs à 40 MN ( sprint court- sprint long )
D'autres font déja de la vma ou de la puissance aérobie donc à 100 % de leur vma en supplément d'un travail en capacité à 70 %
D'autres ne font pas de capacité , ne courent jamais à 70 % pendant trente nimutes, et font soit un travail de vma proche de 100% soit un travail de "on ne sait pas quoi" , en courant moins de trente minutes à moins de 70 % ( ce qui pour des athlètes espoirs seniors niveau ligue y compris sprint court ne développe ni la capacité ni la puissance )
à discuter
Autres variantes observées ou discutées entre coaches
certains courent seulement ,
d'autres courent, nagent font du vélo , ou font de la ppg, voire de la musculation en aérobie , enchaînant gainages et exercices d'étirements, mouvements gymniques et bondissements ou séries longues en musculation , à 70 % et moins du MAX, en récupérant un temps égal au temps d'effort, sans récupération plus longue pendant parfois trente minutes ou pendant deux fois trois fois trente minutes avec récup de 5/6 mn
Enfin la durée totale de la séance aérobie réelle EST variable
(temps du footing + temps réel d'étirements gainages ppg ET OU temps réel de vma ) peut aller de moins d'une heure à 1H30
pour ceux qui ajoutent à 35/40 mn de course ininterrompue, 50 à 55 mn de ppg ou musculation réelle PENDANT une séance qui en tout dure 2H 30 puisque en ppg ils travaillent en discontinu ( alternance travail- repos)
combien de temps votre séance effective dure t-elle ?
Dernières variantes , certains en octobre font des compets ou de la vitesse spécifique et sprintent à 100% du moment , à l'entraînement, d'autres font de la fréquence non spécifique, d'autres ne font que de la technique vitesse , sans courir à 100% et d'autres ne font aucun entraînement dans ce secteur .
à quel moment court t-on à 100% à l'entraînement avec chronos starts et pointes ?
Si on admet que la période de forme se situe en janvier février , à quel moment doit on commencer à travailler à 100% de vma , frontière qui optimise le développement aérobie mais active aussi la filière anaérobie, à quel moment à plus de 100% jusqu' à 130 %
LES CHRONOS DE DECEMBRE montrent que beaucoup sont en forme précoce, ce qui est compréhensible si en octobre ils ont déja entamé anaérobie et vitesse
Cette année la salle de metz va encore accentuer ce travers car tous voudront briller dans ce nouvel écrin . Inutile de se presser EN OCTOBRE il est préférable de retarder le travail qualitatif en insistant sur le quantitatif en capacité car l'aérobie libère la vitesse disent les coaches demi fond et le sprinter peut lui aussi bénéficier des effets sur le coeur et les vaisseaux sanguins, d'un travail lent et long qui certes ne produit pas directement la perf neuro musculaire, mais produit la capacité à s'entraîner plus avec des risques diminués d'accident musculaire .
à discuter
A + de 100 % de vma le sprinter est dans la filière anaérobie et pour les meilleurs qui ont plus de 20 de vma , 130% c'est 28 km heure,voire plus,
A quel moment courir encore plus vite pour atteindre les vitesses maximales 33 km heure pour le 100/200 régional , trente pour le sprint long ?
Chaque coach possède sa recette et il serait intéressant de les comparer
En ce qui me concerne , je demande aux athlètes de reprendre en septembre et nous restons en capacité jusqu'à la toussaint ( les MEILLEURS sprinters longs tiennent jusqu'à plus de 40 MN à 15/16 KM HEURE, les plus jeunes ou les moins performants des sprinters courts moins de 35 MN à 13 )
Fin octobre dans le parcours du footing des passages en côte sont introduits qui font basculer le travail de capacité en puissance et ce footing est suivi de vma piste à 100% et plus )
En novembre et décembre l'intensité croît, et cette séance aérobie devient anaérobie en capacité sur des temps d'efforts dégréssifs ( 1 mn à 45 SEC sprint long et moins pour le sprint court ) avec des récup qui augmentent ( égales puis supérieures au tps d'efFort)
ON évolue vers de la puissance puis cette séance disparait du programme
UNE séance PAR SEMAINE MINIMUM reste toujours précédée d'un footing en capacité mais trente minutes seulement sans chercher à aller plus vite mais sans non plus faire semblant en courant en dessous de 70 % de vma
En période de compétition les footings deviennent des moments pour activer la circulation , avant effort , pour penser à se mettre dans la séance ou dans la compet, ils durent moins de trente minutes , il n'y a plus d'exigence de rythme , on ne développe plus rien dans se secteur et pour l'échauffement les exercices d'étirements non maximaux ou les gammes techniques ou les exercices de mentalisation remplacent avantageusement le footing.
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