SUR LE PODIUM DU FOOT français et dans l'histoire internationale de ce sport planétaire majeur ainsi que assurément dans le top des dieux du stade hexagonal
il y a RAYMOND KOPA MICHEL PLATINI ZINEDINE ZIDANE
Le premier cité vient de rejoindre l'olympe de nos souvenirs éternels
A l'heure où certains politiques exploitent les doutes identitaires
d une période incertaine que traverse le monde et notre pays en effervescence électorale, comment ne pas voir ce que l'équipe de France ( celle des stades comme celles , des mines et usines, des théâtres et musées, des arts et des lettres, des sciences et techniques ) doit aux multiples talents issus des vagues d'immigrations polonaise italienne algérienne et .........autres
adieu merci RAYMOND POUR TA CONTRIBUTION DRIBBLANTE à tant de fières émotions de se sentir ave toi Français
mail de laurent GRUN
Après Johann Cruyff l’année passée, c’est au tour de Raymond Kopa d’effectuer un dernier contre-pied et de nous laisser les fesses dans le gazon. Moins connu que le Hollandais (volant) parce qu’ayant évolué dans les 1950’s et 1960’s, les gens de ma génération l’ont moins vu évoluer “en vrai” qu’un Platini ou un Zidane.
Un esthète, un poète, un créateur, un dribbleur... mais un gars qui avait aussi une conscience “politique” (je vous ai mis à ce sujet un petit extrait d’une com’ que j’avais faite aux Carrefours d’histoire du Sport à Lyon, dans laquelle on voit qu’il dénonce “l’esclavage” infligé aux footballeurs)...
So long Raymond... Pas sûr qu’on retrouve en France le football champagne tel qu’il était pratiqué par toi et tes coéquipiers (Fontaine, Piantoni, Hidalgo... sous l’égide d’Albert Batteux... Puis au Real, Di Stefano, Puskas, Gento...)
Ci dessous, un lien vers un petit article de So Foot qui décrit bien le décalage de générations...
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