dimanche, juillet 15, 2012

Hall of fame des coaches : LF LABRIDY

Voici enfin un premier portrait de coach...

ce texte date de 2010  et la seconde partie est de didi lui même 

J'ai eu du mal  à convaincre de l'utilité d'un hall of fame; en athlé les coaches ne sont défendus que par certains de leurs athlètes, ils sont souvent en rivalité entre eux, parfois au sein de leur propre club, et  les dirigeants qui ont le pouvoir, soyons honnêtes pas tous, disons  la majorité des dirigeants qui  ont le pouvoir, accordent plus de crédit à un athlète performant qu'à un coach performant.

J'ai dû convaincre DIDI dont la discrétion est bien connue.

J'ai dû convaincre des coaches trentenaires que DIDI  méritait plus que d'autres d'être honoré ; je me suis déjà fait "tailler" par certains  quand j'ai mobilisé ex athlètes, ex étudiants, coaches et profs, afin d'envoyer DIDI aux JO de SYDNEY mais beaucoup m'ont suivi et nous avons réussi à lui offrir ce cadeau de départ  quand il a fait valoir ses droits à la retraite de prof.

Donc je ne suis pas le seul à apprécier l'homme et le coach.

Je sais que bien des coachs qui ont entraîné des cadettes juniores aussi ou plus performantes qu'Audrey Rouyer, sans les accompagner au RL, sont persuadés que eux auraient accompagné AUDREY sous 53.41...

Je sais que DIDI n'occupe plus aux PTTN une place de head coach puisque des entraîneurs plus jeunes que lui, comme FRED ou STEPH,  entraînent avec efficacité dans les mêmes disciplines que lui, mais c'était déjà le cas auparavant. Des cts sprint sauts qui se sont succédé avant moi ont été entraîneurs à Nancy

Jetez un œil sur le palmarès des coaches et vous observerez que ceux qui disent que Rouyer  n'a fait que 53.41, n'ont accompagné personne à 54.41 voire 55.41.

Jetez  aussi un œil sur les autres meilleurs athlètes lorrains et vous verrez  que peu de coachs ont accompagné aussi longtemps, aussi bien, autant d'athlètes que DIDI.


J'ai fait la connaissance de Louis Félix Labridy à 20 ans en 1970; je n'avais jamais couru le 100/200 en moins de 11.1 /22.3 et mon rec sur 400 était de 49.6 (les pistes étaient en cendrée, les chronos manuels).

Dans mon club, à Longwy, deux sprinters de 19 et 21 ans  me dominaient et dominaient les autres sprinters lorrains  ; l'un M Bragard détenant le RL senior du 200 en 21.6; l'autre, C Straube, le RL junior  du 400 en 49.4/49.3 en espoir/ et il visait le RL senior  qui était à  49 puis 48.9 fin des années 60.

Mes deux  co équipiers sont restés à Longwy et n'ont pas progressé. Didi m'a conduit   à 10.8/21.8 et au RL du 400...48.6 en 1972 pendant mes études à Nancy. Ma croissance était terminée, c'est bien la rencontre et le coaching LABRIDY qui m'ont fait progresser, sans me tuer, puisque après  les années DIDI  à l'uereps, j'ai  encore amélioré mes pb hiver et été sur 400;

Je ne faisais pas exception... les autres athlètes-étudiants,  alsaciens ou  lorrains  qui s'entraînaient avec DIDI ont comme moi progressé sous ses conseils. Si JO  SPIEGEL  avait été lorrain il serait encore dans le top 800 TOUS TEMPS mais les coaches lorrains dont les athlètes bloquent à 1.51/1.52 ne savent pas que DDI a coaché  sous 1.50 ou sous 3.45 des athlètes seniors qui étaient anonymes en juniors.

Dans les bilans tous temps sur ce blog le nom des autres athlètes des tops lorrains entraînés  par LF  Labridy

AUDREY ROUYER  par exemple, née trente ans après moi...

La liste serait longue  des athlètes suivis par LABRIDY entre nos deux générations, raison de mon choix  mais... mon choix, je l'assume, est aussi  très affectif, puisque DIDI fut donc un de mes coaches, un de mes profs, le seul avec qui j'ai conservé des liens de respect et d'amitié.

Pour les lancers, j'ai l'intention de commencer par  une autre amie :Josiane BORDELLIER, qui a  coaché plusieurs lanceurs et lanceuses encore aujourd'hui en tête des listes tous temps mais aussi des sprinteuses-sauteuses. B HUE et R PIOLANTI sont d'accord sur cette priorité. JOSIANE m'a cité d'autres noms de coachs lancers dont celui de Monsieur AUG.

Pour les sauts et les haies hautes j'ai aussi un entraîneur dans le cercle de mes complicités athlétiques... Bertrand HOZE pendant une courte carrière de coach club, a additionné sélections aux jo et rec de lorraine. Il fait exception.

Serge BORD a également associé son nom à ceux d'un sélectionné aux JO et trois détenteurs des rec de lor  triple longueur haies...  mais il a mis plus de temps à se forger son palmarès, et a occupé des postes professionnels, oeuvrant à NANCY, un contexte plus  aidant qu'un village guénangeois.

A la perche c'est facile puisque JP BULET est seul à avoir coaché deux garçons à 5M et que les meilleures filles sont encore cadettes juniores; LUDO est d'accord sur ce premier choix

Il y a aussi des coaches généralistes qui ont accompagné au meilleur niveau lorrain des coureurs, des sauteurs et des lanceurs; je devrai donc faire une catégorie pour les coaches comme JM CHOFFART

DIDI a signalé BERETTA  à mon attention dans cette catégorie de généralistes

En sprint haies  le cts  YVES HAZO est incontournable pour moi puisqu'il a accompagné plusieurs détenteurs des rec de lor en sprint court et d'autres athlètes du top tous temps. Les plus jeunes coaches ignorent qui il a entraîné, et dans mon cercle de coaches complices certains contestent mon option jugeant que YVES a multiplié les relations courtes sans former personne longuement. C'est un débat.

Le nom de Micha AVERITCHEV m'a été proposé par S SCHAEFFER.

Le coach messin venu d'URSS, a effectivement coaché cinq sprinters figurant dans le top  tous temps, dont une  cadette-juniore  qui a ensuite rejoint Nancy et HAZO pour faire 11.91 en junior 2, chrono jamais dépassé par TRIVEILLOT mais chrono qui est toujours 6° perf lorraine tous temps  depuis ....1987

Les seniors KOFFI et ZORGUI ont aussi eu Averitchev et Hazo parmi les coachs successsifs qu'ils ont consommés en Lorraine et hors ligue.

Viviane SILDILLIA  et Eric GROSJEAN ont fait pendant  un temps plus long appel à Averitchev pour établir leurs pb en sprint court/11.49/23.70/ pour VIVIANE  sous des couleurs alsaciennes, en sprint long pour Eric/48.03 au 400/ qui avait été formé à Forbach par P SCHULER

Il n'est hélas plus possible d'interroger  MICHA aujourd'hui puisqu'il est décédé.

En demi fond certains athlètes phares comme TAHRI ont fait appel  à des coachs experts non lorrains, d'autres signifiants majeurs TIJOU/BOROWSKI et même BAGY en fin de carrière, se sont entraînés  seuls comme... les athlètes LABRIDY/RAGNI/DAL BON/HOZE/FABIANI  pendant tout ou partie de leur carrière

Bien des coaches expérimentent en effet  sur eux mêmes leurs méthodes, pour les tester ou bien parce que leur désir de coach est plus fort que leur désir d'athlète ?

IL faut donc faire  des choix pour constituer un hall of fame; des choix  qui mêlent des arguments techniques et affectifs, qui ne peuvent donc  pas émaner d'une seule subjectivité et  qui pourront faire débat... sur ce blog

En demi fond  je vois  en priorité HABEMONT/BASTIEN  et j'en ai   d'autres  en tête et dans le cœur  mais... l'ami POITEL ne comprendrait pas que je les propose avant Robert  LEMAIRE et je ne lui donne pas tort.

Michel  m'a aussi déjà signalé de ne pas oublier M THOMAS dans les généralistes...  donc je vais avoir besoin d'aide pour choisir des priorités sans m'attirer les foudres de Simonet,  Nicolaeff, Duchène  qui ont des avis encore différents du mien ou de Poitel sur les coaches demi fond à honorer...

MÉTHODOLOGIE DE LA SÉLECTION

1/ Je consulte  les tops des meilleurs athlètes lorrains tous temps
2/ Je note les noms des coaches des athlètes à partir de la catégorie espoir car un cadet- junior qui figure dans le top des 20 MEILLEURS LORRAINS de tous les temps, et qui n'a donc pas progressé ensuite, ne valide pas toujours  une démarche de coach ; je  retiens en priorité les noms qui apparaissent plusieurs fois
3/ je vérifie que la relation entraîneur entraîné a duré, non pas 19 ans comme Thiébaut- Habémont ou 12 ans comme Labridy- Rouyer, mais plusieurs saisons, au moins deux.
4/ je soumets ma subjectivité  à celles de coaches proches et à vos observations critiques comme je viens de le faire pour les noms sus cités.

5/les coaches en début de carrière  comme RAPHAEL PIOLANTI/NICOLAS JEUDY/ FRED FABIANI  qui ont  longuement fait progresser en espoir et senior   une  recordwoman de lorraine du 800  ou qui ont accompagné moins longtemps plusieurs espoirs seniors classés dans les tops tous temps, ne sont pas exclus,  HOZE a démontré que la valeur n'attend pas le nombre des années . Vous pouvez me les proposer./

6/ Pour les coaches FORMATEURS de cadets juniors qui ont progressé en espoirs seniors  avec d'autres coaches dans le top tous temps, il me faudra aussi de l'aide pour  créer une catégorie avec d'autres noms que ceux de l'ami TERNET


POUR DIDI, je l'ai longuement côtoyé donc je connais sa démarche et j'ai suivi  les progrès et les difficultés de certains de ses entraînés; il est plus à mon sens prof, éducateur, que coach..... J'ai entendu les arguments de ceux qui me disent que sa situation de prof à la fac du sport et de coach du plus grand club lorrain ont favorisé sa réussite

NANCY accepte toutes les candidatures de coach, qu'elles viennent de Thaon, Seremange, Sarreguemines, Grenoble ou....  AIX
Habémont,Fabiani,Voisin, Dupré ont aussi décidé d'aller vers les PTTN, d'autres coachs ont décidé de quitter les PTTN

Chaque coach choisit sa trajectoire....
ROUYER n'a pas fréquenté la fac du sport, ni les  juniors comme KAMARA ni les seniors comme Yves GROSSE ou K EBOUABA ou  F SILLAH ou CELIA  MONTFERRAN  et d'autres qui ont fait un temps appel aux services de  DIDI....... pour une ou 15 SAISONS

Le   mois dernier DIDI  m'a invité à dîner et je l'ai interrogé longuement découvrant des infos que j'ignorais. Je lui ai demandé un texte pour être certain de ne pas trop interpréter ses paroles.

Je vous livre ici le texte in extenso sans changer une virgule et sans commentaire MAIS les vôtres sont les bienvenus.  En rouge les  11 athlètes du top lorrain tous temps, dont 10 espoirs seniors, coachés par DIDI, (les listes des tops tous temps sont sur ce blog  avec des noms de coaches à compléter, merci de votre aide)   




LOUIS-FELIX LABRIDY, ENTRAINEUR D'ATHLÉTISME, PARCOURS


Je fais partie d'une famille de sportifs, connue pour cette raison à la Martinique, mon île natale. Mon frère aîné pratiquait plusieurs activités sportives. Il était plus connu comme gardien de but du club de Fort-de-France qui a toujours été le notre, le GOOD LUCK, et pendant de nombreuses années comme « goal » de la sélection de la Martinique qui jouait dans toute la Caraïbe. Tony, c'était son prénom, était aussi athlète et basketteur : 53 dans les années 40 au 400 m et recordman de la Martinique du saut à la perche : 3, m 40 juste après la guerre (perche en bambou et fosse de réception en sable, à peine surélevée.

Il n'était pas rare que dans la même journée du dimanche, il fasse une compétition d'athlétisme le matin, un match de football l'après-midi et un match de basket en « nocturne », le soir.

Le complexe sportif de Fort-de-France comptait dans la grande promenade de Fort-de-France « LA SAVANE » :

 une maison des sports où se pratiquaient la gymnastique aux agrès, l'escrime, l'haltérophilie,

 un terrain de basket,

 un terrain de volley,

 une piste de 250 m,

 un sautoir en hauteur.

Tout cet équipement près du boulevard qui longe la baie de Forte-de-France qu'on appelle la « JETÉE ». Lors des manifestations sportives le public était sur les installations dans un désordre bon enfant, avec la musique d'une fanfare militaire.

Outre Tony, plusieurs de mes sœurs ont pratiqué le sprint, le saut en hauteur, et le basket au Good Luck ». Mon frère aîné était employé de banque, puis enseignant d'éducation physique dans un collège privé. Mes sœurs étaient lycéennes et sont devenues par la suite employées dans diverses administrations (contributions, hygiène scolaire, enseignantes).

Un autre de mes frères, plus jeune, a été aussi footballeur, les deux frères jouant au Good Luck et à la sélection martiniquaise. Après deux ans comme instituteur, il est venu poursuivre ses études à Talence où il a été par la suite enseignant au CREPS. J'étais donc baigné dans le sport, ce qui ne plaisait pas forcément de mes parents qui trouvaient que j'en faisais trop (gardien de but au foot, basketteur et athlète) et qui auraient voulu que je consacre plus de mon temps libre aux études.

J'ai fait mes débuts comme « goal » vers 10, 11 ans. Est venu s'ajouter à cette pratique le basket (au Good luck) vers l'âge de 13-14 ans. Je n'ai pu participer à mon premier match de basket prévu. Mon père, ayant « décidé » de partir pour un autre monde précisément ce jour là. Je me suis rattrapé puisque j'ai fait plusieurs championnats et que j'étais intégré à la sélection de la Martinique pour jouer contre les autres îles de la Caraïbe, Guadeloupe, Trinidad, Porto-Rico. J'ai même eu la difficile tâche de jouer en défense Homme à Homme contre PACHIM VICENS, un Porto-Ricain considéré à Rome comme le meilleur joueur du monde. Pour ce qui est de l'athlétisme, je l'ai découvert lors de ma période scolaire au Lycée Schoelcher de Fort-de-France, sprint et saut en hauteur dans la cour en asphalte du lycée. En cours d'éducation physique, je franchissais 1,80 sans marques et sans préparation particulière à l'âge de 15-16 ans. C'était la fin du saut en rouleau costal ou californien (Dumat, 2,18 m) et le début du ventral (John THOMAS, 2,20 m). Dans cette cour en asphalte où les montants de saut en hauteur étaient constitués de deux tubes fixés au sol et percés de trous pour graduer les hauteurs, il arrivait que les alizés y « jouent de l'orgue ». Je considérais l'athlétisme comme un jeu où entre les cours, on se livrait à des défis dont l'enjeu était un coca à la buvette du « bahut ».

De ce fait, je n'ai jamais jugé utile de confier ma formation à un entraîneur quelconque pour ce qui était avant tout un jeu. Je m'amusais comme un artiste à sauter avec grâce au milieu d'un public qui faisait un cercle tout autour du sautoir, sur cette fameuse « savane ». Par la suite, à la demande de mon frère Tony, j'ai fait des compétitions, ce qui m'a donné l'occasion de remporter le titre de champion de la Martinique du saut en hauteur, devant mon ami Robert Saint-Rose (Titi), excusez du peu !

Arrivé en métropole, incorporé aussitôt, sursis résilié pour cause de guerre d'Algérie.

Reprise des études au CREPS de Voiron en 1963. Je fais la connaissance d'athlètes d'Aix- les-Bains (Pierre CARAZ, coach de Le Maitre), Robert Bogey, Combet (international au marteau),

Husson (marteau), Anyamah (décathlon). Je participe à tous les interclubs de 1963 à 1976 (hauteur, 400, 4X400 m). Entretemps j'intègre l'ENSEP où au contact de Bernard Castang, je fais du décathlon (6 800 points, 10,8 aux 100 m, 1,95 en hauteur, 50 aux 400 m). Je cotoie des entraîneurs : A. Daniel, R. Prost, M. Houvion, Vaussenat...). Je fais des stages nationaux et internationaux avec René-Jean Monneret. Je n'ai jamais eu de coach attitré. Je rencontre sur le stade, Bambuck, Madubost, Pani, Firca, H. Elliot, R. Poirier, A. Hébrard, Brouzet, Acambray....

Je deviens en 1967, Champion de France Universitaire, 6e français au bilan, la même année, je suis nommé à l'IREP de Nancy.

Je quitte le club d'Aix en 1976 et me dirige vers le managérat de Basket-ball, cheminots de Nancy, tout en recrutant des athlètes pour le CAN (club d'athlétisme de Nancy) et en les entraînant dans le cadre de l'Association sportive de l'IREP. En 1981, je suis entraîneur de BB à Vandoeuvre-les-Nancy (N3) puis je me consacre définitivement à l'athlétisme et j'adhère au NAEC comme entraîneur et je prends part à la « négociation » pour la fusion NAEC-ASPTT.

Pendant ma période d'activités d'enseignant à la Faculté du Sport, j'ai formé et perfectionné beaucoup d'athlètes masculin et féminin : P. Ragni, Jo Spiegel, Bombarde, Argenton, Bastien (1,50 au 800), Onwanlélé (2,14 en hauteur), P. Rapenne (3,42 au 1500 m), C. Becker (hauteur), C. Pierrot-Brige,C. Spetael, P. Pierrot, A. Mertz, L. Baudouin.

Audrey Rouyer, découverte à 12 ans et que j'ai entraînée pendant 12 ans. D'autres étudiants de la Faculté, P. Cabirol (25 au 200), M. Jacquiert (12 au 100), J. Chrétien-Lombard (12,1 au 100)...

Audrey Rouyer aurait pu aller très loin (50/51 au 400), si la volonté et la combativité dont elle faisait preuve en compétition s'étaient retrouvées en dehors du stade. J'ai formé avec Célia une association de plus de 15 ans et qui dure encore. Elle est capable de bâtir elle-même son programme d'entraînement mais pour bien travailler elle a besoin de temps en temps de la vision son coach.

La pratique en tant que « coach » m'intéresse toujours et même si je mets mon expérience au service des débutants de niveau moyen, j'éprouve de la satisfaction (non de la fierté) lorsque les performances arrivent comme dans le cas de Dior ou d'autres comme Aurélie Venturin (1,70 hauteur minime).

Je n'ai pas assez de certitude pour prodiguer des conseils à qui que ce soit, mais je suis toujours prêt à confronter des points de vue avec d'autres entraîneurs. Je dirais seulement pour que l'athlétisme soit un milieu où l'on trouve de la convivialité et du plaisir : « l'esprit de club oui, l'esprit de clocher, non. »



Louis-Félix Labridy, 26 mai 2010

2 commentaires:

encore un grem a dit…

72 ans de passions , de records, de journées passées sur tous les stades, pour un club, des interclubs, au service des enfants, des adolescents, des étudiants... de l'athlétisme qui sans ces personnes ne serait rien.
72 ans nous contemplent et nous imposent une forme de respect.
Reposez en Paix M Labridy...

encore un grem a dit…
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