Les performances sont faibles alors que la discipline a été forte dans l’histoire de l’athlétisme lorrain avec Servius mais aussi ROTA et TANGUY 16.33 et 15.42 en… 1972.
Suivi_triple_saut_HommesEric MULLER a sauté 15.86 en 1990, à 23 ans, et en est resté là.
Julien VOIRIN (13.49 en cadet / 14.43 en jun 1) met six ans pour gagner 53 cm et … trois mois pour passer de 14.95 à 15.33 i quand il accepte ma proposition de s’entraîner avec Jimmy GABRIEL. Sa progression se poursuit HORS LIGUE depuis, car un club, Amiens, qui n’est pas celui de son coach parisien, lui a offert ce que son club, les clubs de son département ou sa ligue, ne lui ont pas offert.
Cet argument n’a pas valeur de preuve mais il est une pièce au dossier : la réussite se construit au cas par cas ; dans le même club, Laurane progresse en passant de Gilbert à Nicolas, des Vosges au Languedoc, aux Vosges, sans dévier de sa trajectoire ambitieuse, d’un projet ambitieux, élaboré par une dyade ambitieuse.
Autre argument qui ne prouve rien à lui seul mais qui fait répétition
Daquin était sur le podium France cadets aux côtés de Servius, il valait 14.55 en cadet et n’a pas atteint 15M ensuite. Son PB 14.95 à… 29 ans, représente un gain de 40 cm en 12 saisons, pas toutes dans un club lorrain. Aucun autre triple sauteur messin n’a atteint ni approché 14.95 sur quatre autres minimes-cadets-juniors détectés entre 13.65 et 14.03.
Les cadets-juniors comme DRAME et CUSTOS ont un potentiel initial supérieur à ceux de DAQUIN /VOIRIN. Ne pas les accompagner à 16 m, ne pas accompagner à 15 m d’autres cadets comme Michel Muller (14.08) ou le rapide Peters (13.99) voire des minimes comme Gasparina (13.83), doit nous alerter.
Faire 14.03 en cadet 1 en débutant en minime à 10.68, comme YAO, nécessite la présence d’un coach triple saut expérimenté dans le suivi d’athlètes à 14 M, comme Gérald Maze, mais pour faire plus de 15M il faut
Les triple sauteurs qui n’ont pas le désir ou l’intervalle de confiance reconnu pour viser plus de 15 doivent pour se maintenir à plus de 14, voire, qui sait, déjouer les pronostics, être suivis par des coaches lorrains qui ne sont pas légions, il suffit de lire les bilans.
J’ai eu dans mon groupe d’entraînement un junior à plus de 14 qui n’a jamais dépassé 14.75 parce que je ne suis pas coach expert en triple.
En revanche sur 400 je suis expert, pour le niveau 46/47/48, pas pour 43/44.
Coaches experts
Je ne peux pas promettre 46.64 ou 47.26, à tous les juniors à moins de 50, seulement à ceux qui font 49.93 ou 49.56 dès leur premier 400 ou première saison sur 400, à ceux qui font moins de 49 dès leur seconde saison sur 400.
Mais moins de 49 (ou moins de 54 sur 400 haies pour ceux qui stagnent à 49 sur le plat) je peux le programmer à tous les juniors à moins de 51 qui acceptent de s’entraîner jusqu’en senior.
Et tous les coaches experts nationaux sur 400/400H avec moi.
Pour moins de 45, il faut un expert international, des partenaires et un environnement qui n’existent pas en Lorraine.
Pour faire plus de 60/65 au marteau, les Lorrains savent qu’il faut passer par Amnéville, mais pour faire plus de 75, RAPHAEL et JEROME ont montré le chemin ; ils sont allés à Paris ou Houston et BB a compris la leçon : il attend son billet d’avion pour aller découvrir l’Amérique, son projet est déjà gagnant, MONTAIGNE ET LA BOETIE l’ont écrit.
J’ai vérifié avec onze athlètes lorrains de mon groupe d’entraînement, et avec d’autres athlètes lorrains, entraînés par d’autres coaches, que la réussite sur 400/400H n’a pas pour référence le hasard mais la collaboration plus ou moins longue avec un ou plusieurs coaches experts 400/400H
Quelques exemples
Sur 400 Pascal BARDY, junior lorrain ordinaire, améliore en 47.40, à 28 ans, le record régional, après des études à Grenoble, fief de Robert VAUSSENAT le meilleur coach français de 400 des années 70/80
Claude Schlosser, 48.8 en junior, record régional senior à l’époque, avec son coach club SOARES a couru en 47.7, à 21 ans, autre record régional, avec VERZIER au Bataillon de Joinville.
Ni avant ni après, Schlosser n’a renouvelé un chrono proche de 47.7, avec son coach club.
Sillah (formé par Dufour, recruté par Barthel) et Zorgui, sont passés un temps par le cts HAZO, un temps par Labridy et moi-même pour le premier nommé.
Didi m’a conduit au record de Lorraine du 400, alors que j’étais un junior anonyme, puis il a conduit Audrey ROUYER à 53.41, un chrono que la surdouée Cazier n’a atteint ni en Lorraine ni à Paris
DIDI a aussi perfectionné un étudiant en médecine, anonyme chez les jeunes, que HAZO avait initié et Yves Grosse a réussi 48.73 à 27 ans en… 1985
Dans mon club formateur, en junior, je m’entrainais avec un partenaire recordman de Lorraine JUNIOR ( C. Straube 49.4) qui me mettait 20 mètres en compet, mais lui n’a jamais rencontré DIDI : il a terminé sa carrière en senior à 49.3, huit mètres derrière moi.
J’ai entraîné 10 saisons chacun, les deux derniers détenteurs du record de Lorraine du 400.
Sur 400h les frères Gonigam, numéros un et trois lorrains de tous les temps(49.80/50.36) et Emmanuel Voiselle numéro 5 (51.69) ont également sollicité un temps les services de HAZO, tout comme Marie Christine Cazier pendant sa période lorraine.
Claudel le numéro 2 lorrain tous temps, formé par Luc Romary, s’est entrainé avec moi, de son arrivée au creps, en junior, jusqu’ à la fin de sa carrière, à 28 ans
Avant et après lui, j’ai accompagné trois autres coureurs sous 53.54 dans le top 20 lorrain de tous les temps et quatre autres entres 54.60 et 54.01 dont deux espoirs, carrières en cours.
Jacky Dechoux, bat à 22 ans le rec de Lorraine en 51.6 m, en 1974 (toujours 6° CHRONO lorrain tous temps 2009) pendant ses études à l’Insep, avec le coach grenoblois VAUSSENAT devenu entraîneur national.
Ces observations et d’autres (Attina 51.35, numéro 4 et Choffart 52.66, numéro 11, ont été suivis par JM Choffart, coach expérimenté, ex athlète partenaire de club des frères Klein – 51.97/52.70) permettent de dire que la réussite se construit avec des athlètes et des coaches, identifies, dans des environnements choisis.
Des réussites spectaculaires comme le record de Lorraine 2007 du 4H féminin ou la performance 2008 de Anthony Michel sur 400, sont à mettre au crédit de jeunes coaches qui suivent leur premier athlète performant.
Voyons de plus près qui sont ces jeunes coaches, inexpérimentés à ce niveau de coaching.
D’une part ils ont pratiqué le sprint avec talent, quand ils étaient athlètes, l’un est ex décathlonien international.
D’autre part ils ont choisi SOIT la profession de coach professionnel, d’abord au club Phar puis dtn adjoint au Luxembourg ,SOIT celle de prof eps, option athlétisme-sprint.
Enfin un des deux est fils de sprinter champion, fils d’entraîneur sprint, neveu de dtn athlé.
Il ajoute à certaines séances d'entraînement un aller-retour Sarrebourg-Nancy ,chaque semaine.
Donc ils ne sont pas exactement des passants du hasard et ... Ils coachent deux athlètes junior et espoir, en début de carrière.
Personne ne peut prédire l’avenir mais le projet ou absence de projet des deux athlètes sont connus, de leur club, de la ligue et pour Amélie de la fédération qui lui a fait des offres...
Suivi_triple_saut_HommesEric MULLER a sauté 15.86 en 1990, à 23 ans, et en est resté là.
Julien VOIRIN (13.49 en cadet / 14.43 en jun 1) met six ans pour gagner 53 cm et … trois mois pour passer de 14.95 à 15.33 i quand il accepte ma proposition de s’entraîner avec Jimmy GABRIEL. Sa progression se poursuit HORS LIGUE depuis, car un club, Amiens, qui n’est pas celui de son coach parisien, lui a offert ce que son club, les clubs de son département ou sa ligue, ne lui ont pas offert.
Cet argument n’a pas valeur de preuve mais il est une pièce au dossier : la réussite se construit au cas par cas ; dans le même club, Laurane progresse en passant de Gilbert à Nicolas, des Vosges au Languedoc, aux Vosges, sans dévier de sa trajectoire ambitieuse, d’un projet ambitieux, élaboré par une dyade ambitieuse.
Autre argument qui ne prouve rien à lui seul mais qui fait répétition
Daquin était sur le podium France cadets aux côtés de Servius, il valait 14.55 en cadet et n’a pas atteint 15M ensuite. Son PB 14.95 à… 29 ans, représente un gain de 40 cm en 12 saisons, pas toutes dans un club lorrain. Aucun autre triple sauteur messin n’a atteint ni approché 14.95 sur quatre autres minimes-cadets-juniors détectés entre 13.65 et 14.03.
Les cadets-juniors comme DRAME et CUSTOS ont un potentiel initial supérieur à ceux de DAQUIN /VOIRIN. Ne pas les accompagner à 16 m, ne pas accompagner à 15 m d’autres cadets comme Michel Muller (14.08) ou le rapide Peters (13.99) voire des minimes comme Gasparina (13.83), doit nous alerter.
Faire 14.03 en cadet 1 en débutant en minime à 10.68, comme YAO, nécessite la présence d’un coach triple saut expérimenté dans le suivi d’athlètes à 14 M, comme Gérald Maze, mais pour faire plus de 15M il faut
- soit espérer que des cadets juniors d’exception comme Servius et un coach d’exception comme Hozé se rencontrent par miracle
- soit organiser le miracle de la rencontre, après la fin de la croissance, après l’apprentissage technique basique, c'est-à-dire confier en junior 2 ou espoir, les cadets-juniors à 14M qui désirent faire 15M ou plus, à des coaches, comme Jimmy Gabriel, rodés au suivi de sauteurs à plus de 15 et 16 mètres.
Les triple sauteurs qui n’ont pas le désir ou l’intervalle de confiance reconnu pour viser plus de 15 doivent pour se maintenir à plus de 14, voire, qui sait, déjouer les pronostics, être suivis par des coaches lorrains qui ne sont pas légions, il suffit de lire les bilans.
J’ai eu dans mon groupe d’entraînement un junior à plus de 14 qui n’a jamais dépassé 14.75 parce que je ne suis pas coach expert en triple.
En revanche sur 400 je suis expert, pour le niveau 46/47/48, pas pour 43/44.
Coaches experts
Je ne peux pas promettre 46.64 ou 47.26, à tous les juniors à moins de 50, seulement à ceux qui font 49.93 ou 49.56 dès leur premier 400 ou première saison sur 400, à ceux qui font moins de 49 dès leur seconde saison sur 400.
Mais moins de 49 (ou moins de 54 sur 400 haies pour ceux qui stagnent à 49 sur le plat) je peux le programmer à tous les juniors à moins de 51 qui acceptent de s’entraîner jusqu’en senior.
Et tous les coaches experts nationaux sur 400/400H avec moi.
Pour moins de 45, il faut un expert international, des partenaires et un environnement qui n’existent pas en Lorraine.
Pour faire plus de 60/65 au marteau, les Lorrains savent qu’il faut passer par Amnéville, mais pour faire plus de 75, RAPHAEL et JEROME ont montré le chemin ; ils sont allés à Paris ou Houston et BB a compris la leçon : il attend son billet d’avion pour aller découvrir l’Amérique, son projet est déjà gagnant, MONTAIGNE ET LA BOETIE l’ont écrit.
J’ai vérifié avec onze athlètes lorrains de mon groupe d’entraînement, et avec d’autres athlètes lorrains, entraînés par d’autres coaches, que la réussite sur 400/400H n’a pas pour référence le hasard mais la collaboration plus ou moins longue avec un ou plusieurs coaches experts 400/400H
Quelques exemples
Sur 400 Pascal BARDY, junior lorrain ordinaire, améliore en 47.40, à 28 ans, le record régional, après des études à Grenoble, fief de Robert VAUSSENAT le meilleur coach français de 400 des années 70/80
Claude Schlosser, 48.8 en junior, record régional senior à l’époque, avec son coach club SOARES a couru en 47.7, à 21 ans, autre record régional, avec VERZIER au Bataillon de Joinville.
Ni avant ni après, Schlosser n’a renouvelé un chrono proche de 47.7, avec son coach club.
Sillah (formé par Dufour, recruté par Barthel) et Zorgui, sont passés un temps par le cts HAZO, un temps par Labridy et moi-même pour le premier nommé.
Didi m’a conduit au record de Lorraine du 400, alors que j’étais un junior anonyme, puis il a conduit Audrey ROUYER à 53.41, un chrono que la surdouée Cazier n’a atteint ni en Lorraine ni à Paris
DIDI a aussi perfectionné un étudiant en médecine, anonyme chez les jeunes, que HAZO avait initié et Yves Grosse a réussi 48.73 à 27 ans en… 1985
Dans mon club formateur, en junior, je m’entrainais avec un partenaire recordman de Lorraine JUNIOR ( C. Straube 49.4) qui me mettait 20 mètres en compet, mais lui n’a jamais rencontré DIDI : il a terminé sa carrière en senior à 49.3, huit mètres derrière moi.
J’ai entraîné 10 saisons chacun, les deux derniers détenteurs du record de Lorraine du 400.
Sur 400h les frères Gonigam, numéros un et trois lorrains de tous les temps(49.80/50.36) et Emmanuel Voiselle numéro 5 (51.69) ont également sollicité un temps les services de HAZO, tout comme Marie Christine Cazier pendant sa période lorraine.
Claudel le numéro 2 lorrain tous temps, formé par Luc Romary, s’est entrainé avec moi, de son arrivée au creps, en junior, jusqu’ à la fin de sa carrière, à 28 ans
Avant et après lui, j’ai accompagné trois autres coureurs sous 53.54 dans le top 20 lorrain de tous les temps et quatre autres entres 54.60 et 54.01 dont deux espoirs, carrières en cours.
Jacky Dechoux, bat à 22 ans le rec de Lorraine en 51.6 m, en 1974 (toujours 6° CHRONO lorrain tous temps 2009) pendant ses études à l’Insep, avec le coach grenoblois VAUSSENAT devenu entraîneur national.
Ces observations et d’autres (Attina 51.35, numéro 4 et Choffart 52.66, numéro 11, ont été suivis par JM Choffart, coach expérimenté, ex athlète partenaire de club des frères Klein – 51.97/52.70) permettent de dire que la réussite se construit avec des athlètes et des coaches, identifies, dans des environnements choisis.
Des réussites spectaculaires comme le record de Lorraine 2007 du 4H féminin ou la performance 2008 de Anthony Michel sur 400, sont à mettre au crédit de jeunes coaches qui suivent leur premier athlète performant.
Voyons de plus près qui sont ces jeunes coaches, inexpérimentés à ce niveau de coaching.
D’une part ils ont pratiqué le sprint avec talent, quand ils étaient athlètes, l’un est ex décathlonien international.
D’autre part ils ont choisi SOIT la profession de coach professionnel, d’abord au club Phar puis dtn adjoint au Luxembourg ,SOIT celle de prof eps, option athlétisme-sprint.
Enfin un des deux est fils de sprinter champion, fils d’entraîneur sprint, neveu de dtn athlé.
Il ajoute à certaines séances d'entraînement un aller-retour Sarrebourg-Nancy ,chaque semaine.
Donc ils ne sont pas exactement des passants du hasard et ... Ils coachent deux athlètes junior et espoir, en début de carrière.
Personne ne peut prédire l’avenir mais le projet ou absence de projet des deux athlètes sont connus, de leur club, de la ligue et pour Amélie de la fédération qui lui a fait des offres...
2 commentaires:
salut patrice c'etait juste pour dire que j'avait lancé 61.85m a forbach dimanche 11 janvier par -6°c.J'avais precedement realisé 61.86m au debut de mois d'aout au match espoir dans de bonne condition climatique.Plutot positif pour un debut de saison hivernale puisque les championnat de france auront lieu pas avant le 28 fevrier a compiegne.(Maier c'est contenté de 55.26m).
Bravo mon Bruno, Bravo.
Continue comme ca. And don't be waiting, be actor!
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