Vous allez apprendre par la presse que je suis candidat au poste de dtn comme en 2004
J'ai pris ma décision il y a ... 18 heures.
Je n'ai pas perdu la raison comme certains le pensent, le disent, l'écrivent.
Ma candidature me permet de m'exprimer, de répéter des analyses que je développe dans l'indifférence, l'ironie gentille ou méprisante selon les cas, depuis que j'ai quitté mon premier club longovicien pour en créer un autre fonctionnant sur des principes novateurs.
Le club quitté a fini par adhérer à ces principes, ce qui a permis in fine de réunir et maintenir vivant un athlé performant dans le pays haut (Anthony Michel et le demi fond pourtant amputé de Bagy et autres Bellhadad) pendant que les autres clubs de la zone disparaissaient ou faiblissaient, dans les palmarès lorrains, à l'exception de la JSA.
Cette fois, en plus, il y a une raison conjoncturelle, après les épisodes qui ont écarté des instances dirigeantes régionales et nationales des hommes de valeur, et de la direction technique des personnes qui ont la dimension intellectuelle, politique, psychique, pour bouger notre fédération, nos ligues et nos clubs, qui ont intériorisé des normes de fonctionnement, culturellement et historiquement ancrées, mais désormais obsolètes.
Dans une société mondialisée, l'apparition et le développement du sport de haut niveau, n'est pas due au hasard : cette concomittance a un sens.
Il n'est plus possible de pratiquer le sport de performance, que je distingue du sport de haut niveau et du sport pour tous, comme au "bon vieux temps", où il était acceptable de laisser mourir P de Coubertin dans l'exil, l'anonymat, la misère, de disqualifier Jules Ladoumègue ou Guy Drut, d'interdire les courses sur route, d'empêcher les femmes de pratiquer les mêmes épreuves que les hommes, y compris le décathlon et le steeple, de tenir les médecins, puis les psychologues, puis les psychanalystes, éloignés des athlètes et des coaches, de se centrer sur les jeunes de moins de 22 ans, de sacraliser des compétitions qui nivèlent par le bas le niveau des performances... d'empêcher Picoche de courir les régionaux avec des compétiteurs de son niveau, sous prétexte qu'ils sont d'un autre sexe... de défendre une appartenance club, forte ou exclusive, quand les athlètes de plusieurs clubs s'entraînent ensemble en Algérie ou en AFRIQUE du sud, à l'Insep ou dans des pôles, se déplacent en compétitions et stages avec un coach professionnalisé par la fédération, la ligue, coach qui n'est pas licencié dans le même club que les athlètes de son groupe d'entraînement parfois.
Dans d'autres pays et EN FRANCE dans d'autres fédérations, il a été possible de changer les habitudes, de modifier les comportements.
Dans notre propre FFA, un souffle lorrain, messin, puis guénangeois et naborien, puis parisien né à METZ, a fait entrer Freud, puis le professionnalisme des athlètes, puis le professionnalisme des entraîneurs au 33 AVENUE PIERRE DE COUBERTIN.
Mais la porte s'est refermée trop vite, au moins pour trois d'entre eux. Le quatrième m'a téléphoné hier soir pour me dire qu'il était candidat.
Nous nous sommes échangés nos lettres de motivation, comme je l'avais fait avec l'autre candidat lorrain 2004, nous sommes en phase, quelle que soit la décision finale, elle aura eté prise en connaissance de cause.
Je vais pouvoir le dire ailleurs que sur ce blog, sans illusion, mais avec conviction. (article RL)
J'ai pris ma décision il y a ... 18 heures.
Je n'ai pas perdu la raison comme certains le pensent, le disent, l'écrivent.
Ma candidature me permet de m'exprimer, de répéter des analyses que je développe dans l'indifférence, l'ironie gentille ou méprisante selon les cas, depuis que j'ai quitté mon premier club longovicien pour en créer un autre fonctionnant sur des principes novateurs.
Le club quitté a fini par adhérer à ces principes, ce qui a permis in fine de réunir et maintenir vivant un athlé performant dans le pays haut (Anthony Michel et le demi fond pourtant amputé de Bagy et autres Bellhadad) pendant que les autres clubs de la zone disparaissaient ou faiblissaient, dans les palmarès lorrains, à l'exception de la JSA.
Cette fois, en plus, il y a une raison conjoncturelle, après les épisodes qui ont écarté des instances dirigeantes régionales et nationales des hommes de valeur, et de la direction technique des personnes qui ont la dimension intellectuelle, politique, psychique, pour bouger notre fédération, nos ligues et nos clubs, qui ont intériorisé des normes de fonctionnement, culturellement et historiquement ancrées, mais désormais obsolètes.
Dans une société mondialisée, l'apparition et le développement du sport de haut niveau, n'est pas due au hasard : cette concomittance a un sens.
Il n'est plus possible de pratiquer le sport de performance, que je distingue du sport de haut niveau et du sport pour tous, comme au "bon vieux temps", où il était acceptable de laisser mourir P de Coubertin dans l'exil, l'anonymat, la misère, de disqualifier Jules Ladoumègue ou Guy Drut, d'interdire les courses sur route, d'empêcher les femmes de pratiquer les mêmes épreuves que les hommes, y compris le décathlon et le steeple, de tenir les médecins, puis les psychologues, puis les psychanalystes, éloignés des athlètes et des coaches, de se centrer sur les jeunes de moins de 22 ans, de sacraliser des compétitions qui nivèlent par le bas le niveau des performances... d'empêcher Picoche de courir les régionaux avec des compétiteurs de son niveau, sous prétexte qu'ils sont d'un autre sexe... de défendre une appartenance club, forte ou exclusive, quand les athlètes de plusieurs clubs s'entraînent ensemble en Algérie ou en AFRIQUE du sud, à l'Insep ou dans des pôles, se déplacent en compétitions et stages avec un coach professionnalisé par la fédération, la ligue, coach qui n'est pas licencié dans le même club que les athlètes de son groupe d'entraînement parfois.
Dans d'autres pays et EN FRANCE dans d'autres fédérations, il a été possible de changer les habitudes, de modifier les comportements.
Dans notre propre FFA, un souffle lorrain, messin, puis guénangeois et naborien, puis parisien né à METZ, a fait entrer Freud, puis le professionnalisme des athlètes, puis le professionnalisme des entraîneurs au 33 AVENUE PIERRE DE COUBERTIN.
Mais la porte s'est refermée trop vite, au moins pour trois d'entre eux. Le quatrième m'a téléphoné hier soir pour me dire qu'il était candidat.
Nous nous sommes échangés nos lettres de motivation, comme je l'avais fait avec l'autre candidat lorrain 2004, nous sommes en phase, quelle que soit la décision finale, elle aura eté prise en connaissance de cause.
Je vais pouvoir le dire ailleurs que sur ce blog, sans illusion, mais avec conviction. (article RL)
3 commentaires:
J'accuse.Que penser de l'athlé lorrain?
Distinguons 2 classes.Prenons l'image de la politique en lorraine on peut dire qu'il y a la droite c'est a dire les entraineus qui pensent que c'est eux qui font leurs athlètes et que leur succes est entierement du (S.D;F.L;P.R;B.H;B.B etc..).De l'autre coté il y a ceux qui ne font qu'aider l'athlète(la gauche) et qui ne pensent meme pas a leur désir personnel..(G.C;F.F;B.G;S.P;L.P etc...).Entre ces 2 partis qui s'opposent on peut distinguer les neutres c'est a dire les athlètes.Personne ne se mouille.Personne ne prend position.Disons le nous une bonne foie pour toutes.Mettons les cartes sur la table.Disutons,délibérons.Rassemblons nous :"Je me révolte donc nous sommes" a un jour dit un écrivain célèbre.J'attends.
C'est du grand n'importe quoi : quelle caricature de la politique, caricature qui fait aller des lycéens dans la rue alors que certains ne savent même pas qu'il y a une réforme de prévue...
Caricature pour dire Droite = mauvais et Gauche = bon.
Le monde n'est pas manichéen : on peut être de droite avec un bon fond et on est souvent de gauche pour profit personnel !
Voila donc le cts candidat à la DTN !
gageons qu'avec l experience des jeux de 2000 et le soutient de tous ses "amis" à la fédé, la candidature de notre Gérard Schivardi de CTS va remporter tous les suffrages!
The spinner
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