Ce blog est un espace de communication qui s’ajoute et complète les discussions directes, individuelles sur le stade, et collectives en réunions ETR, en formation continue des entraîneurs, en colloques, en stages ligue, indispensables au fonctionnement d’une collectivité humaine.
A 58 ans, il me reste deux saisons pour lutter contre une inertie très enracinée dans nos pratiques. L’absence ou le manque ou la difficulté de communication, dans le couple, la famille, dans l’entreprise, dans le club, la ligue, les institutions, sportives et autres, ne résultent pas seulement des caractéristiques psychologiques individuelles, elles ont aussi des explications qui dépassent les personnes concernées.
Des avancées théoriques comme les groupes de parole ou des inventions technologiques comme internet, favorisent, rendent possible, aujourd’hui et demain, ce qui était plus difficile à mettre en oeuvre hier.
Je remercie tous ceux qui m’aident beaucoup dans mon combat et me disent que, en une seule saison ou en une seule olympiade, ils ont reçu plus de coups de fil, plus de mails, plus d’invitations en stages et réunions, plus de paroles directes de la part d’un cts, que … pendant tout le reste de leur carrière. Je dois encore progresser, non dans ma volonté de promouvoir le dialogue qui est mon credo, mais dans la forme, et pour cela, je me nourris et instruis de vos commentaires.
Un cts a pour fonction de susciter et alimenter le débat mais un cts est un homme, donc il peut se tromper, il reste subjectif, malgré sa formation et son expérience professionnelles, qui lui permettent d’éviter les pièges les plus grossiers de la parole.
Il ne peut pas éviter les rets du signifiant.
Les réponses et les commentaires sur le blog sont essentielles, indispensables, soit pour corriger les erreurs ou la subjectivité du cts, soit pour ajouter des erreurs et de la subjectivité, car ceux qui répondent et commentent sont aussi des êtres humains, qui ont le droit de se tromper, d’interpréter subjectivement.
Les COMMENTATEURS ont un droit supplémentaire, celui de la liberté de ton, car un cts est payé pour lire les commentaires, formé pour accepter la critique..
Le cts doit veiller à ne pas heurter affectivement, ses interlocuteurs, qui ne sont pas payés pour le lire, mais comme l’ont compris, dit et écrit certains, il peut, il doit, provoquer le débat donc il ne peut pas seulement saluer les bons résultats, le bon comportement, la bonne démarche, car la réussite gomme souvent ou masque des difficulté que les mauvais résultats, mettent en évidence, révèlent.
Vous devez savoir que chaque fois qu’un problème de communication surgit, entre nous, je réagis de manière professionnelle, je consulte un psychologue ou un psychanalyste et je lui expose, mes paroles, mes écrits et vos commentaires, et nous mettons tout cela au travail.
QUAND PAR EXEMPLE j’écris que je conseille à Mattieu d’acheter des boules quies et que je rapporte les COMMENTAIRES de son coach Fred, le psy m’écoute, et quand il a fini de m’écouter, je lui promets de rembourser les boules quies et de demander comme seul effort à Mattieu de consulter le site de la ligue et mon blog de temps en temps.
Le psy m’aide à prendre la décision de parler à Mattieu pour lui dire qu’un athlète de son niveau d’aspiration doit faire cet effort d’information, de lecture du site, comme il doit faire un effort d’hygiène de vie, un effort de programmation de carrière universitaire, en plus des efforts d’entraînement et de compet, pour optimiser son potentiel. Le psy m’aide à corriger mon commentaire.
Le nouveau conseil m’apparaît meilleur que celui d’acheter des boules quiès, …mais je n’en serai certain que quand Mattieu ou Fred auront fait un commentaire.
L’évaluation des carences doit donc, si nous suivons BOURDIEU, permettre de corriger notre fonctionnement … alors, je réponds à Déborah et Thierry.
Je leur dis à tous deux merci pour commencer, pour les raisons invoquées plus haut. Je vous donne à tous, grâce à eux, des infos sur le fonctionnement des cts.
Les minimes sont gérés par une commission jeunes, en étroite liaison avec Dominique qui suit particulièrement cette catégorie.
Hervé n’intervient que pour le stage 1000 MINIMES, et moi, que pour les minimes suivis par les coaches en formation moins de 16 ans ; il n’y en a pas en 2008 donc je n’ai pas d’infos sur les minimes 2008, sauf quand une DIOR saute 1.70, car ce résultat conduit toute la ligue à en parler (je sais qu’elle est suivie par Didi, il m’a expliqué sa démarche, que je connais et partage depuis très longtemps).
Quand un coach moins de 16 ans a obtenu son diplôme et est particulièrement performant, je le sais, car sur son classeur de formation sont inscrits les noms des minimes fidélisés ; tous les minimes fidélisés progressent avec ou sans entraînement, mais certains plus que d’autres, alors je me déplace une année à Forbach pour voir Alex Delogu ou Nicolas Vincent, une autre à Vagney pour voir HUIT COACHES d’un coup et je rentre a metz à minuit. Une autre fois je vais à Remiremont pour voir Beretta, Jeudy, Louis, M ST germain, ou à Verdun pour en voir Massias et Stemmer … C’est loin de Metz, je ne peux pas y aller tous les ans comme à Champigneulles ou Amnéville. A Nancy je passe plus souvent, à Metz presque toutes les semaines. Quand je vais à Sarrebourg et que je loupe Pratelli, il me faut aller jusqu’à Sarreguemines pour voir la seule ans Anastasie Garnier, c’est lourd, pourtant ceux qui ne me voient qu’une fois par an ou moins pensent que je les néglige.
Le reste du temps je me contente donc de parler avec les entraîneurs de minimes diplômés, au téléphone, par mail, ou bien je demande à des coaches- club, comme Michel Magron ou Fleurette si Gasmi, Levasseur et autres diplômés sont toujours actifs, quels minimes ils ont fidélisés... En fait je m’occupe plus des coaches de minimes que des minimes donc je sais ce que font ou ont fait Pernossi à Nancy, Ternet à Audun, Pelletey à Vagney, Vermuse à Sarrebourg, Hoppe à Forbach, Lescanne à Guénange, Schweitzer à ESTY, etc. avec des minimes.
Prochaine visite, Neuves maisons, en juin, mais je sais déjà par Magali Evrard, Mylène Corradi et d’autres ce que fait JL Vincent, donc je vais voir ce qu’ont fait les autres diplômés, comme Gomez ou Fuchs et en même temps je vois ce que font Ricetti ou Braillard…
Pour les cadets juniors c’est encore Dominique le référent principal, comme pour les minimes, c’est logique qu’il suive les minimes qui grandissent, mais HERVE l’aide à suivre les marcheurs et moi je l’aide à suivre les coureurs.
EN ESPOIR SENIOR je prends le relais mais Hervé pour la marche et Dominique pour les lancers m’aident.
Pour les sauts, pas de cts expert, donc nous faisons le suivi tous les trois en nous appuyant beaucoup sur les coaches experts de l’ETR.
Pour la perche LUDO et JBH m’aident beaucoup, je prends l’avis de H GUERRA pour Reistroffer, de G. BEAUDOUN ainsi que du préparateur mental de DOUB, qui est un de mes amis : Makis Chamalidis. Raphael, j’ai été son coach un an et je l’apprécie beaucoup, j’ai des infos par sa sœur ou son père ou directement (il m’a appelé la semaine dernière pour me dire que tout allait bien, y compris le piano qu’il continue à pratiquer 5H par semaine à Paris) Pour les filles elles sont toutes à Remiremont avec MST G.
Pour la hauteur je sais que les meilleurs sont au pôle avec LECERF qui suit aussi DA SILVA, donc le suivi est facile et Alain REITER me tient informé, plus que BRINO excellent lors de sa formation et MAZE pourtant très expérimenté. Perdre HELLERINGER en dit beaucoup sur nos carences aussi je garde le contact direct avec BERNAT ; on se téléphone ou on se croise dans le TGV, il me raconte son stage de Pâques avec les Parisiens.
Pour la longueur- triple j’ai essuyé de nombreux refus de coaches sollicités pour intégrer l’ETR et pour ne pas perdre Mertz comme Guillemard j’ai dû accueillir cette année Olivier dans mon groupe sprint-haies, quand HUE m’a sollicité.
Ayant changé trop souvent de coach depuis qu’il a quitté Leininger, un excellent coach de minimes que j’ai suivi des années, Olivier Mertz est un cas d’école de suivi défaillant. J’ai accepté sa demande insistante parce que IMAAD a plaidé sa cause, et parce que depuis des années l’Amnévillois me poursuit au téléphone à Venise, Barcelone, Bruges … Je pensais convaincre BRIGE ou P MAGRON ou DRELLER ou POJER de le prendre en charge techniquement. Pour l’instant j’ai essuyé trois refus, il me reste une solution en Lorraine et j’en cherche hors Lorraine, comme je l’ai fait pour Voirin en triple. POJER m’aide dans la limite de sa disponibilité mais il est encore athlète et sans expérience avec des athlètes à plus 7m.
Pour les épreuves combinées je suis en relation avec Julien qui est désormais son propre coach et celui de son cousin Yannick, chez les filles Yassmina ayant décidé de revenir vers P Meyer, c’est plus facile que quand elle était loin de savoir ce qu’elle fait, ce qu’elle envisage de faire.
JE PEUX A PRESENT REPONDRE A DEBORAH
Est-ce que j’aime la marche ?
1/Je préfère le 400 à la marche mais Hervé Delarras préfère la marche au 400, alors il faut que tu acceptes que tous les cts ne partagent pas ta préférence .
2/ Nous les cts, sommes des professionnels payés pour faire un travail et non pour faire seulement ce que l’on préfère.
3/ de 1998 à 2006 mon athlète préféré parmi tous les athlètes du monde, était Laurent Claudel, ami d’une marcheuse, que j’ai entraînée un an et qu’il a épousée, j’étais à leur mariage, l’an dernier.
4/ quand tu croiseras RIVA/LANDORMY, la famille Grouselle père-fils-filles, et autres marcheurs sarregueminois, Albéric Tousaint, Laura Duquesne, tu leur poseras la question que tu te poses et me poses. Ils y répondront mieux que moi.
5/ si ta question te concerne personnellement, souviens toi de notre conversation à St Etienne aux France ELITE, si tu as oublié, tu peux t’adresser à ton coach Desmoulin ou bien à ton co-équipier Laurent Pojer et peut être parviendront ils à te rassurer sur mes sentiments pour toi.
Comme c’est déjà long et que je vais être en retard à l’entraînement si je poursuis, je répondrai à Thierry un autre jour.
A 58 ans, il me reste deux saisons pour lutter contre une inertie très enracinée dans nos pratiques. L’absence ou le manque ou la difficulté de communication, dans le couple, la famille, dans l’entreprise, dans le club, la ligue, les institutions, sportives et autres, ne résultent pas seulement des caractéristiques psychologiques individuelles, elles ont aussi des explications qui dépassent les personnes concernées.
Des avancées théoriques comme les groupes de parole ou des inventions technologiques comme internet, favorisent, rendent possible, aujourd’hui et demain, ce qui était plus difficile à mettre en oeuvre hier.
Je remercie tous ceux qui m’aident beaucoup dans mon combat et me disent que, en une seule saison ou en une seule olympiade, ils ont reçu plus de coups de fil, plus de mails, plus d’invitations en stages et réunions, plus de paroles directes de la part d’un cts, que … pendant tout le reste de leur carrière. Je dois encore progresser, non dans ma volonté de promouvoir le dialogue qui est mon credo, mais dans la forme, et pour cela, je me nourris et instruis de vos commentaires.
Un cts a pour fonction de susciter et alimenter le débat mais un cts est un homme, donc il peut se tromper, il reste subjectif, malgré sa formation et son expérience professionnelles, qui lui permettent d’éviter les pièges les plus grossiers de la parole.
Il ne peut pas éviter les rets du signifiant.
Les réponses et les commentaires sur le blog sont essentielles, indispensables, soit pour corriger les erreurs ou la subjectivité du cts, soit pour ajouter des erreurs et de la subjectivité, car ceux qui répondent et commentent sont aussi des êtres humains, qui ont le droit de se tromper, d’interpréter subjectivement.
Les COMMENTATEURS ont un droit supplémentaire, celui de la liberté de ton, car un cts est payé pour lire les commentaires, formé pour accepter la critique..
Le cts doit veiller à ne pas heurter affectivement, ses interlocuteurs, qui ne sont pas payés pour le lire, mais comme l’ont compris, dit et écrit certains, il peut, il doit, provoquer le débat donc il ne peut pas seulement saluer les bons résultats, le bon comportement, la bonne démarche, car la réussite gomme souvent ou masque des difficulté que les mauvais résultats, mettent en évidence, révèlent.
Vous devez savoir que chaque fois qu’un problème de communication surgit, entre nous, je réagis de manière professionnelle, je consulte un psychologue ou un psychanalyste et je lui expose, mes paroles, mes écrits et vos commentaires, et nous mettons tout cela au travail.
QUAND PAR EXEMPLE j’écris que je conseille à Mattieu d’acheter des boules quies et que je rapporte les COMMENTAIRES de son coach Fred, le psy m’écoute, et quand il a fini de m’écouter, je lui promets de rembourser les boules quies et de demander comme seul effort à Mattieu de consulter le site de la ligue et mon blog de temps en temps.
Le psy m’aide à prendre la décision de parler à Mattieu pour lui dire qu’un athlète de son niveau d’aspiration doit faire cet effort d’information, de lecture du site, comme il doit faire un effort d’hygiène de vie, un effort de programmation de carrière universitaire, en plus des efforts d’entraînement et de compet, pour optimiser son potentiel. Le psy m’aide à corriger mon commentaire.
Le nouveau conseil m’apparaît meilleur que celui d’acheter des boules quiès, …mais je n’en serai certain que quand Mattieu ou Fred auront fait un commentaire.
L’évaluation des carences doit donc, si nous suivons BOURDIEU, permettre de corriger notre fonctionnement … alors, je réponds à Déborah et Thierry.
Je leur dis à tous deux merci pour commencer, pour les raisons invoquées plus haut. Je vous donne à tous, grâce à eux, des infos sur le fonctionnement des cts.
Les minimes sont gérés par une commission jeunes, en étroite liaison avec Dominique qui suit particulièrement cette catégorie.
Hervé n’intervient que pour le stage 1000 MINIMES, et moi, que pour les minimes suivis par les coaches en formation moins de 16 ans ; il n’y en a pas en 2008 donc je n’ai pas d’infos sur les minimes 2008, sauf quand une DIOR saute 1.70, car ce résultat conduit toute la ligue à en parler (je sais qu’elle est suivie par Didi, il m’a expliqué sa démarche, que je connais et partage depuis très longtemps).
Quand un coach moins de 16 ans a obtenu son diplôme et est particulièrement performant, je le sais, car sur son classeur de formation sont inscrits les noms des minimes fidélisés ; tous les minimes fidélisés progressent avec ou sans entraînement, mais certains plus que d’autres, alors je me déplace une année à Forbach pour voir Alex Delogu ou Nicolas Vincent, une autre à Vagney pour voir HUIT COACHES d’un coup et je rentre a metz à minuit. Une autre fois je vais à Remiremont pour voir Beretta, Jeudy, Louis, M ST germain, ou à Verdun pour en voir Massias et Stemmer … C’est loin de Metz, je ne peux pas y aller tous les ans comme à Champigneulles ou Amnéville. A Nancy je passe plus souvent, à Metz presque toutes les semaines. Quand je vais à Sarrebourg et que je loupe Pratelli, il me faut aller jusqu’à Sarreguemines pour voir la seule ans Anastasie Garnier, c’est lourd, pourtant ceux qui ne me voient qu’une fois par an ou moins pensent que je les néglige.
Le reste du temps je me contente donc de parler avec les entraîneurs de minimes diplômés, au téléphone, par mail, ou bien je demande à des coaches- club, comme Michel Magron ou Fleurette si Gasmi, Levasseur et autres diplômés sont toujours actifs, quels minimes ils ont fidélisés... En fait je m’occupe plus des coaches de minimes que des minimes donc je sais ce que font ou ont fait Pernossi à Nancy, Ternet à Audun, Pelletey à Vagney, Vermuse à Sarrebourg, Hoppe à Forbach, Lescanne à Guénange, Schweitzer à ESTY, etc. avec des minimes.
Prochaine visite, Neuves maisons, en juin, mais je sais déjà par Magali Evrard, Mylène Corradi et d’autres ce que fait JL Vincent, donc je vais voir ce qu’ont fait les autres diplômés, comme Gomez ou Fuchs et en même temps je vois ce que font Ricetti ou Braillard…
Pour les cadets juniors c’est encore Dominique le référent principal, comme pour les minimes, c’est logique qu’il suive les minimes qui grandissent, mais HERVE l’aide à suivre les marcheurs et moi je l’aide à suivre les coureurs.
EN ESPOIR SENIOR je prends le relais mais Hervé pour la marche et Dominique pour les lancers m’aident.
Pour les sauts, pas de cts expert, donc nous faisons le suivi tous les trois en nous appuyant beaucoup sur les coaches experts de l’ETR.
Pour la perche LUDO et JBH m’aident beaucoup, je prends l’avis de H GUERRA pour Reistroffer, de G. BEAUDOUN ainsi que du préparateur mental de DOUB, qui est un de mes amis : Makis Chamalidis. Raphael, j’ai été son coach un an et je l’apprécie beaucoup, j’ai des infos par sa sœur ou son père ou directement (il m’a appelé la semaine dernière pour me dire que tout allait bien, y compris le piano qu’il continue à pratiquer 5H par semaine à Paris) Pour les filles elles sont toutes à Remiremont avec MST G.
Pour la hauteur je sais que les meilleurs sont au pôle avec LECERF qui suit aussi DA SILVA, donc le suivi est facile et Alain REITER me tient informé, plus que BRINO excellent lors de sa formation et MAZE pourtant très expérimenté. Perdre HELLERINGER en dit beaucoup sur nos carences aussi je garde le contact direct avec BERNAT ; on se téléphone ou on se croise dans le TGV, il me raconte son stage de Pâques avec les Parisiens.
Pour la longueur- triple j’ai essuyé de nombreux refus de coaches sollicités pour intégrer l’ETR et pour ne pas perdre Mertz comme Guillemard j’ai dû accueillir cette année Olivier dans mon groupe sprint-haies, quand HUE m’a sollicité.
Ayant changé trop souvent de coach depuis qu’il a quitté Leininger, un excellent coach de minimes que j’ai suivi des années, Olivier Mertz est un cas d’école de suivi défaillant. J’ai accepté sa demande insistante parce que IMAAD a plaidé sa cause, et parce que depuis des années l’Amnévillois me poursuit au téléphone à Venise, Barcelone, Bruges … Je pensais convaincre BRIGE ou P MAGRON ou DRELLER ou POJER de le prendre en charge techniquement. Pour l’instant j’ai essuyé trois refus, il me reste une solution en Lorraine et j’en cherche hors Lorraine, comme je l’ai fait pour Voirin en triple. POJER m’aide dans la limite de sa disponibilité mais il est encore athlète et sans expérience avec des athlètes à plus 7m.
Pour les épreuves combinées je suis en relation avec Julien qui est désormais son propre coach et celui de son cousin Yannick, chez les filles Yassmina ayant décidé de revenir vers P Meyer, c’est plus facile que quand elle était loin de savoir ce qu’elle fait, ce qu’elle envisage de faire.
JE PEUX A PRESENT REPONDRE A DEBORAH
Est-ce que j’aime la marche ?
1/Je préfère le 400 à la marche mais Hervé Delarras préfère la marche au 400, alors il faut que tu acceptes que tous les cts ne partagent pas ta préférence .
2/ Nous les cts, sommes des professionnels payés pour faire un travail et non pour faire seulement ce que l’on préfère.
3/ de 1998 à 2006 mon athlète préféré parmi tous les athlètes du monde, était Laurent Claudel, ami d’une marcheuse, que j’ai entraînée un an et qu’il a épousée, j’étais à leur mariage, l’an dernier.
4/ quand tu croiseras RIVA/LANDORMY, la famille Grouselle père-fils-filles, et autres marcheurs sarregueminois, Albéric Tousaint, Laura Duquesne, tu leur poseras la question que tu te poses et me poses. Ils y répondront mieux que moi.
5/ si ta question te concerne personnellement, souviens toi de notre conversation à St Etienne aux France ELITE, si tu as oublié, tu peux t’adresser à ton coach Desmoulin ou bien à ton co-équipier Laurent Pojer et peut être parviendront ils à te rassurer sur mes sentiments pour toi.
Comme c’est déjà long et que je vais être en retard à l’entraînement si je poursuis, je répondrai à Thierry un autre jour.
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